Ceux qui hurlent en permanence au crime contre l’humanité ont perpétré le plus grand crime contre l’humanité de tous les temps. Ces humanistes hystériques sont finalement les ennemis de l’humanité et au moment où ils commettent leur crime de masse par le biais d’une injection expérimentale obligatoire déguisée, ils affirment ne faire que du bien à l’humanité, tout en détruisant l’hôpital et en persécutant les non-vaccinés, en particulier les soignants. Les victimes de cette injection réclament justice et reconnaissance auprès des autorités, mais ces autorités sont aux mains de ces ennemis de l’humanité et continuent de nier ce génocide en le nommant plutôt « morts subites », affirmant qu’il n’y a pas d’explication. « Hécatombe subite », « extermination subite », déclareront-ils bientôt très officiellement !… Voilà où nous en sommes. La victime se plaint auprès du juge mais le juge est aux mains du bourreau. Alors la victime se tourne vers les médias mais ceux-ci obéissent aussi aux bourreaux. Ce génocide ne sera donc jamais reconnu par les coupables et leurs complices, et les victimes n’obtiendront jamais leur condamnation auprès des autorités qui font elles-mêmes partie des coupables. L’humanité – car la victime ici c’est l’humanité – n’obtiendra justice qu’en détruisant ces ennemis de l’humanité. Dans une grande guerre sanglante, une guerre mondiale, comme elle semble se dessiner autour de l’Ukraine. Sans cette destruction, il n’y aura pas de justice…, tout au plus, quelques têtes tomberont pour calmer les foules mais les ennemis de l’humanité garderont le pouvoir, en continuant de jouer la grande comédie de la démocratie, de la liberté, de la justice, de l’ouverture, des échanges et des efforts pour la paix. En tout état de cause, la justice la vraie n’arrivera que lorsque cette comédie sera totalement détruite. Malraux ne croyait pas si bien dire en affirmant que « l’intelligence c’est la destruction de la comédie », cité par Roger Stéphane dans Toutes choses ont leur saison. Alors soyons intelligents ! Osons comprendre les rouages du pouvoir de cette vermine dans les coulisses de cette démoniaque comédie pour mieux les déconstruire et les faire s’effondrer. Mais au fond, il ne s’agit pas tant de faire condamner cette vermine que de l’éliminer, physiquement. Il n’y a pas de réconciliation possible, pas d’expiation, pas de pardon possible, pas de seconde ni de troisième ni de énième chance. Il s’agit d’une lutte à mort ; les ennemis de l’humanité veulent obstinément la mort de l’humanité, de la conscience humaine, et cette humanité si elle veut continuer à vivre doit donc nécessairement prendre le risque de détruire complètement ces ennemis dans un combat à mort. « La vie vaut ce que nous sommes capables de risquer pour elle », disait très justement Hegel dans sa Dialectique du maître et de l’esclave. Sauf qu’aujourd’hui, l’esclave ne doit pas chercher la reconnaissance du maître, il ne doit même pas chercher à s’en affranchir ou à le dominer, il doit l’éliminer. Entre la vie du maître et la vie de l’esclave, il y a une vie en trop. Le maître n’a plus besoin de l’esclave, il le remplacera par une machine ou un robot, il se débarrassera des « inutiles », comme dit Yuvel Noah Harari… Il n’y a pas d’alternative, s’il ne veut pas être éliminé car considéré comme « inutile », s’il veut continuer à vivre, l’esclave humain n’a donc pas d’autre choix que d’éliminer le maître diabolique. L’esclave ne doit même pas se poser la question : est-ce que cette élimination est juste ? Il n’est pas question ici de justice ou de morale, il est question de vie ou de mort. De toute façon, tuer celui qui veut obstinément nous tuer est tout à fait moral. Nous hésitons à les éliminer car ces ennemis de l’humanité se présentent toujours comme les amis de l’humanité, des philanthropes, qui en grec veut justement dire « amis de l’humanité », philo (ami) et anthropos (homme). Des prétendus amis de l’humanité qui agissent au sein de sociétés secrètes à l’abri du regards des hommes… ! Cette ruse ne doit pas nous faire perdre de vue la définition du philanthrope authentique, du véritable ami de l’humanité : celui qui ne nuit pas à l’humanité, qui combat ceux qui nuisent à l’humanité et qui contribue au plein accomplissement de l’humanité, ce qui suppose déjà de surmonter son animalité. De surmonter ensuite la pensée animale, la pensée du corps, la pensée du corps soucieux de son intégrité, de sa sécurité, du corps qui n’accepte pas la mort, la pensée du corps qui va tout faire pour supprimer la mort physique, par la science, la science rationnelle exclusive, qui exclut toute logique pas sécuritaire, toute logique qui ne soutient pas la sécurité exclusive du corps. L’ami de l’humanité est donc celui qui surmonte cette logique sécuritaire finalement mortifère qui détermine la logique rationnelle, cette logique qui n’accepte pas la mort et qui réduit la vie à une mécanique : la logique des ennemis de l’humanité. L’ami de l’humanité est celui qui accepte la mort, qui n’en a pas peur, et qui célèbre la vie tout en acceptant la mort. L’animal a peur de la mort mais l’être humain véritable n’en a pas peur, car il intuitionne quelque chose de plus que l’animal : une vie spirituelle… Aujourd’hui, la majorité des hommes et des femmes sont des animaux qui ont peur de la mort, et qui obéissent à ceux qui disent les protéger de la mort, par la science. La science est le nouvel opium du peuple, opium conçu par ces ennemis de l’humanité. Leur science dont ils sont si fiers fourvoie l’homme selon toute évidence. La véritable science est tout simplement celle qui nous guide sur le long chemin de la connaissance de soi, de notre essence, pour nous affranchir du corps, Platon disait déjà que l’action principale de la philosophie est de nous apprendre à mourir, à détacher l’âme du corps. La véritable science est celle qui clarifie toutes nos intuitions spirituelles. Les amis de l’humanité cherchent à s’affranchir du corps, les ennemis de l’humanité à s’affranchir de la mort, selon la logique sécuritaire la plus extrême, qui consiste à se mettre en sécurité définitive de la mort pour pouvoir jouir de la vie dans une domination sans limite, domination menacée par la très nombreuse population humaine et surtout par la conscience humaine. Ces ennemis de l’humanité et de la conscience humaine ont donc imaginé un moyen rationnel pour dépeupler la Terre : une pandémie mondiale justifiant un vaccin universel censé nous protéger d’une mort imminente, un vaccin qui n’est en réalité qu’un poison. Les esclaves ne sont esclaves que de la peur de la mort, les ennemis de l’humanité le savent si bien. Ces derniers prétendent défendre la science contre l’obscurantisme, les superstitions et le fanatisme, mais leur science n’est rien d’autre que la science qui n’accepte pas la mort, qui ne l’accepte fanatiquement pas, par orgueil, l’orgueil de la puissance qui veut abolir tout ce qui limite sa puissance. Mais il y a aussi une science qui accepte la mort – cette loi fondamentale de la nature -, une science qui cherche le principe ultime des lois de la nature non pour les abolir mais pour y trouver la parfaite harmonie, la science des amis de l’humanité.
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