Une des preuves majeures et éclatantes de la mascarade UMPS et de la politique mondiale : le gouvernement socialo-traître Hollande demande des réformes structurelles à la Grèce en cas de renégociation de la dette ! Il utilise le même vocabulaire que la mafia du FMI qui a détruit tant de pays et tué tant d’enfants des suites de la famine et de la dénutrition. Une honte inimaginable de la part des socialistes qui devraient partager la joie de la victoire populaire en Grèce. D’ailleurs, à la nomination du nouveau gouvernement, les banksters apatrides ont attaqué la bourse grecque qui a accusé une chute de près de 10% le premier jour et de 25 % de perte pour les 4 plus grandes banques du pays. Bref, la guerre a éclaté entre la mafia bankster et le peuple grec. La preuve du complot est là sous nos yeux, elle nous nargue mais la plupart n’arrivent pas à la voir, aveuglés par leur bêtise ou lâcheté.
La France est prête à une renégociation de la dette grecque sous conditions de sérieux budgétaire et de réformes structurelles, a déclaré le ministre français des Finances, Michel Sapin, tout en excluant toute annulation des créances d’Athènes.
« L’annulation est une aberration, la renégociation est sur la table », dit-il dans un entretien publié jeudi sur le blog de Libération « Coulisses de Bruxelles ».
« Il y a toute une série de modalités techniques possibles à discuter. Mais, attention, nous le ferons en tenant compte des engagements de réformes que prendra la Grèce », poursuit-il.
« Le plus douloureux, le rééquilibrage budgétaire, est déjà accompli mais le plus facile à faire sur le papier, la réforme de l’Etat grec, les réformes structurelles, restent encore largement en jachère », poursuit-il, en référence au fait que le pays dégage un excédent budgétaire primaire, c’est-à-dire hors coût de la dette.
« Il est hors de question d’accepter que le budget grec soit à nouveau déséquilibré et reparte dans une spirale de déficit », ajoute Michel Sapin, sous forme de mise en garde quant à l’application du programme de relance promis par le parti Syriza avant sa victoire aux législatives de dimanche .
« Bâtir un État moderne »
« De toute façon, pour financer une telle politique, il faudrait que le gouvernement se finance sur les marchés ou auprès des bailleurs de fonds, et je pense que personne ne serait prêt à lui prêter de l’argent sans condition », dit-il.
Au registre des réformes structurelles, Michel Sapin estime que la Grèce se doit de « bâtir un État moderne, efficace, une administration fiscale indépendante et capable de faire rentrer l’impôt ».
Le ministre français de l’Économie, Emmanuel Macron, avait auparavant jugé normal qu’il y ait une négociation sur la dette grecque, tout en soulignant que le pays ne pouvait déroger à ses engagements.
Les déclarations d’Emmanuel Macron sont moins conciliantes que celles d’autres responsables socialistes qui suggèrent plus directement que la France est favorable à un rééchelonnement de la dette grecque.