Laboratoire pharmaceutique Eli Lilly, celui qui vient de vendre pour 170 millions d’euros de médicaments totalement inefficaces contre le covid-19, avait déjà été condamné en 2009 aux USA pour avoir fait la promotion illégale d’un de ses produits. L’amende était très lourde puisqu’il était question d’un milliard 420 millions de dollars.
Il faut bien comprendre que le laboratoire a voulu vendre des médicaments extrêmement dangereux à des enfants ! Ces gens sont des monstres, ils n’ont absolument aucune limite, ils sont dénués de toute humanité.
Le laboratoire Eli Lilly reconnaît sa culpabilité pour avoir promu de façon illégale le Zyprexa, un neuroleptique supposé traiter uniquement la schizophrénie mais qu’Eli Lilly présentait mensongèrement comme utile pour les enfants et les personnes âgées.
Le laboratoire a donc réalisé une transaction avec la justice américaine pour en finir avec les procès et va verser 1 milliard 420 millions de dollars, soit la plus grosse amende jamais ordonnée par un tribunal américain.
Une première mondiale et une victoire pour tous ceux qui s’inquiètent de la multiplication des prescriptions de drogues psychiatriques pour chaque problème de l’existence.
Eli Lilly est connu comme étant le fameux laboratoire pharmaceutique qui fabrique et commercialise le Prozac depuis des années.
Mais c’est pour la commercialisation du Zyprexa qu’Eli Lilly a été condamné. Le laboratoire a plaidé coupable pour « conduite criminelle » suite à une investigation criminelle et civile sur la commercialisation de la drogue psychiatrique Zyprexa.
Ce « médicament » a été reconnu comme favorisant le suicide et la violence chez les enfants.
Le tribunal a reçu les preuves que le Zyprexa causait des troubles neurologiques sévères, du diabète, des attaques cardiaques, et parfois la mort.
Eli Lilly a été condamné pour avoir organisé des campagnes de marketing pour le Zyprexa orientées vers les enfants et les personnes du troisième âge, alors que les preuves de sa toxicité étaient manifestes, et les preuves de son efficacité inexistantes.
Son utilisation était même poussée dans les écoles comme calmant pour les enfants.
Une décision de justice qui fait date et laisse à penser que tout n’est pas sans espoir face aux lobbies des drogues psychiatriques.
Article reproduit avec l’aimable autorisation de la CCDH
Janvier 2009
Source : http://ccdh.asso.fr/