Grosal et Alain de Benoist doivent être heureux et jubiler de bonheur en voyant cette racaille pédocriminelle collectionner les récompenses littéraires, dont il faut croire qu’elles sont décernées au prorata du nombre de petits garçons innocents attirés dans le traquenard de cette vermine, au vu et au su de tous : police, justice, médias… tous complices criminels. Il est étrange que cette récompense soit attribuée à cet étron au moment où l’actualité fait état d’images pédopornographiques détenues par d' »honorables » professeurs des écoles, s’occupant de très jeunes enfants, et qui ont misérablement forfait à leur devoir et à leur honneur. Il est également étrange que cette « saleté » de distinction, destinée initialement aux auteurs n’ayant rien reçu, soit attribuée à cette crapule alors que ce pédocriminel a déjà obtenu le prix Renaudot essai en 2013 ! Dormez poings fermés petites gens, point de complot à l’horizon, juste des pédocriminels haut placés qui se protègent, s’autocongratulent et s’encensent mutuellement. L’écrivain Jean-François Colosimo qui, hier encore sur les plateaux télé, défendait les chrétiens d’Orient, nous gratifiera d’une sortie extraordinaire, époustouflante : « Matzneff fait partie de la race des écrivains dont le personnage ne se distingue pas de l’œuvre » ! Rien que ça ! Oui, effectivement, Matzneff fait partie d’une race de fils de chiens de pédocriminels !
En réalité, tout ceci est bien connu de tous, ils savent parfaitement ce qu’ils font et, par notre silence honteux et notre totale inertie, nous sommes devenus les complices impardonnables de ces criminels ! Ne pas oublier que Matzneff a été un témoin de l’affaire du pédocriminel récidiviste J. Dugué !!!
Son roman La Lettre au capitaine Brunner a été distingué à la Brasserie Lipp ce mardi. L’écrivain rejoint le palmarès prestigieux de l’une des plus anciennes récompenses littéraires.
Le Prix Cazes-Brasserie Lipp 2015 a été décerné à Gabriel Matzneff pour son roman La Lettre au capitaine Brunner (La Table Ronde). La récompense lui sera remise le 15 avril à la brasserie du boulevard Saint-Germain. Il l’a emporté face à Dominique de Saint-Pern, Baronne Blixen, (Stock), Christophe Bataille, L’Expérience (Grasset), Michel Bernard, Les Forêts de Ravel (Table Ronde), et Jean-Luc Seigle, Je vous écris dans le noir (Flammarion).
La Lettre au capitaine Brunner narre l’histoire de Nil Kolytcheff, qui s’interroge sur les raisons du suicide de son cousin Cyrille, près de quarante ans auparavant. Cyrille dont le père avait eu maille à partir avec la justice au lendemain de la Seconde Guerre mondiale en raison de ses liens avec l’occupant nazi et un certain Alois Brunner, Hauptsurmfürher SS et commandant du camp de Drancy…
C’est à la fois une chronique familiale et un hymne à l’amitié, affirmions-nous dans Le Figaro littéraire du 5 février consacré à Gabriel Matzneff. Ce dernier déclarait: «J’ai voulu exprimer tout mon univers sensible.» De son côté, Jean-François Colosimo disait du lauréat du Prix Cazes que «Matzneff fait partie de la race des écrivains dont le personnage ne se distingue pas de l’œuvre».
L’auteur couronné ce mardi à la Brasserie Lipp rejoint un prestigieux palmarès où figurent, entre autres, Cavanna, Gilles Lapouge, Guy Lagorce, Olivier Todd, Jean-Paul Aron… L’an passé, le prix a été exceptionnellement décerné à titre posthume à Robert Sabatier pour Je vous quitte en vous embrassant bien fort (Albin Michel). La récompense, créée par Marcellin Cazes, existe depuis 1935. Elle fête cette année ses quatre-vingts années. Le jury est présidé par Joël Schmidt, le secrétariat général est assuré par Claude Guittard.
Pour Gabriel Matzneff, le Prix Cazes revêt un goût particulier: il connaît la brasserie Lipp par cœur, il s’y rend depuis l’âge de huit ans quand son père l’y emmenait. Avec la récompense, il aura table ouverte durant toute l’année…
- Source :
http://www.lefigaro.fr/
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