Une telle différence aussi bien génétique qu’au niveau des manifestations symptomatologiques, chez des populations radicalement différentes, doit avoir une explication scientifique logique et rationnelle. Ce n’est pas la même maladie, ce n’est pas le même virus, les populations touchées n’ont strictement rien à voir et la pathogénicité est infiniment moins grave et moins mortelle. Qu’est-ce qui différencie les populations africaines des populations occidentales touchées ? C’est une question qui doit être posée. Est-ce le comportement sexuel risqué qui est responsable de cette épidémie, la prise de certains médicaments, la vaccination massive anti Covid-19… ?
AFRIQUE
- Variole du singe endémique depuis 50 ans (le virus ayant le bon goût de rester cantonné à l’Afrique). Infectés : hommes 60 %, femmes 40 % (principalement dans le cadre familial).
“L’homosexualité n’a jamais été un indicateur particulier“.
“We’ve been collecting data on monkeypox since 1970 and that particular indicator, men having sex with men, has never come up as a significant issue here in Africa,” he said. (source Reuters)
OCCIDENT
- Aucun cas avant… Et subitement depuis mai, plus de 25 000 infectés dans 70 pays, et à 98 % des homosexuels masculins.
Il en aura fallu du temps (3 mois) à ces clowns pour comprendre que quelque chose clochait...
- Soit ce n’est pas le même virus (le Covipox est différent de la “variole du singe” africaine. Il a 50 mutations et personne n’est capable d’expliquer leur présence ni leur fonction alors que les virus DNA mutent très lentement).
- Soit, les Occidentaux (et d’autres pays) ont quelque chose en plus... que les Africains n’ont pas. Ou en moins ?
Par exemple, par le plus grand des hasards, des “vaccins” expérimentaux ARNm conçus en un week-end contre le Covid ?
- Ou encore, des traitements anti-HIV sophistiqués qui pourraient interagir avec le virus ? Rappelons que de nombreux gays en Occident utilisent désormais des médicaments dits “PrEP”… en prévention du HIV ! Des molécules qui ne doivent pas être très répandues dans le Continent noir…
Et comme par hasard, une large part des covipoxés homosexuels utilisent de tels traitements préventifs (selon les données britanniques… les covipoxés séronégatifs les utilisent à 74 %, et du côté des Français… 65 % ! Les données sont parfaitement cohérentes d’un pays à l’autre).
- Soit, dernière hypothèse, un mélange de tout cela ? (ce qui semble l’hypothèse médiane, la plus rationnelle).
Comme le dit un scientifique israélien (une pointure qui a lui même été blessé par les produits ARNm)… une telle flambée après les campagnes massives d’injections couillonavirales… “ce n’est pas une coïncidence“.
Ce n’est pas un accident de la nature. Il y a quelque chose derrière.