Ceci est un appel à tous les parents d’élèves, les parents tout court, qui hésitent encore à se lever contre cette tyrannie sanitaire qui va imposer la vaccination des plus petits alors que cette maladie ne les concerne pas. Il est encore temps de se lever et de s’unir avant qu’il ne soit trop tard. Nous sommes dirigés par des voyous et des criminels dont les actions sanitaires vont conduire à la mort d’un très grand nombre d’enfants, sans oublier les malades graves.
Alors que le nombre de cas de Covid-19 augmente fortement chez les moins de 10 ans, certains parents veulent enlever le port du masque à l’école élémentaire.
400 parents attaquent l’État français devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH), et réclament la suppression de cette mesure. Le recours, déposé le 1er décembre, est porté par le collectif des « Parents atterrés», situé au Mans.
Le taux d’incidence augmente chez les 6-10 ans
Nicolas Landy en est convaincu : le port du masque à l’école est peu utile. Cet ancien élu manceau, co-coordinateur du collectif des « Parents atterrés », explique que « les enfants ont un pouvoir contaminant faible et ils sont très peu touchés par la maladie. » Si les plus jeunes développent effectivement peu de formes graves, les contaminations des enfants explosent cependant depuis la semaine dernière. Avec 663 cas pour 100.000 enfants de 6 à 10 ans, c’est une des plus fortes augmentations du taux d’incidence selon Santé Publique France.
Pour son recours, le collectif a constitué un dossier de preuves : témoignages, articles ou études qui témoignent des problèmes que pose le port du masque à l’école. Parmi ces arguments, l’inquiétude des orthophonistes sur l’apprentissage des jeunes enfants. « C’est important que les enfants puissent voir les mouvements de la bouche pour bien apprendre à parler », s’inquiète Audrey Canal, membre du collectif et mère de trois enfants.
Les « Parents atterrés » pointent aussi les manquements de l’État, qui n’a pas réalisé d’étude spécifique sur le port du masque à l’école. « Il n’y a pas eu de bilan coût-avantage sur cette question », déplore Claire Murillo, l’avocate du collectif. Elle espère donc que la CEDH ordonnera, au minimum, à l’État de réaliser un tel bilan. « Mais pour connaître les résultats du recours, il faudra attendre plusieurs mois », précise Claire Murillo.
Photo d’illustration : Le collectif national des « Parents atterrés » a déposé un recours, le 1er décembre 2021, dénonçant le port du masque à l’école. © Maxppp – Pierre Heckler
2 décembre 2021