Nous apprenons de deux sources concordantes (dont un membre de l’équipe d’un candidat aux législatives et un citoyen) que lors de l’organisation des élections algériennes au consulat d’Algérie à Marseille, M. Omar Djellil qui était venu en tant qu’agent de sécurité et d’organisation du scrutin (sic), introduit par M. Amar Tazir, a été reconduit gentiment à la porte du consulat à deux reprises – les 29 et 30 avril – après que des citoyens eurent affiché leur mécontentement dû à sa présence. Après avoir fait entrer l’élu FN, Stéphane Durbec, à la mosquée de Camille Pelletan (qu’ils ont volée à M. Mohand Allili après leur putsch associatif et la complicité du conseiller occulte de J.-C. Gaudin, M. Salah Bariki (cf. article ci-dessous)), Omar Djellil a été viré de son poste de secrétaire de l’association afin de calmer les esprits. Il s’est également illustré dans une vidéo avec Jean-Marie Le Pen en train d’entonner le chant des Africains au cimetière de Mas Thibert sur la tombe du harki Bachagha Boualem (cf. vidéo ci-dessous). Il a aussi appelé à voter FN aux cantonales à la même époque expliquant que Jan-Marie Le Pen était un homme remarquable… Ces nombreux scandales n’ont pas été oubliés par les citoyens algériens qui ont fait état de leur mécontentement aux autorités consulaires.
On remarque toujours la présence de l’équipe de la mosquée de Camille Pelletan (Amar Tazir et Omar Djellil) ! On se demande également comment peut-on entonner en 2011 le chant des Africains sur la tombe du Bachagha Boualem, puis aller organiser les élections législatives algériennes ! C’est ce que l’on appelle une dissonance cognitive qui ne nous étonne pas de la part de ce monsieur dont les contradictions sont nombreuses.
Voici comment Omar Djellil parle de l’Algérie et de son passeport “vert” sur sa page Facebook en février 2017 !