Cet article publié dernièrement dans la presse démontre à quel point les musulmans ont été importants dans la libération de la France aussi bien pendant la première guerre mondiale que dans la deuxième. Il est utile de rappeler également que les juifs doivent leur salut et leur prospérité actuelle au concours et à l’aide que leur ont apportés les musulmans à trois reprises dans l’histoire, voire plus. Comme expliqué dans Ils aiment l’islam – Anthologie des textes des grands auteurs occidentaux, des juifs européens et plus spécialement séfarades (espagnols) ont été sauvés par la conquête musulmane de l’Andalousie étant donné l’extrême violence du traitement qu’ils subissaient par le fait des Wisigoths. Une seconde fois ces mêmes juifs seront sauvés après la chute de Grenade, trouvant refuge au Maghreb et en Turquie. La troisième fois concernera la participation de dizaines de milliers de soldats musulmans pour remporter la victoire contre les Allemands.
Nous ne demandons aucun remerciement, pas d’argent non plus, aucune médaille. Nous demandons juste aux représentants des juifs et aux agents subversifs qui passent quotidiennement dans les médias, de cesser de dire l’inverse et de ne pas travestir l’histoire !
Plus de Mohamed que de Martin parmi les morts de 14-18
Compter les prénoms présents sur les monuments aux morts de la Grande Guerre permet de dresser un portrait inattendu des victimes tombées pour la France. Par V. Alexandre, F. Casaleggio, S. de Livonnière
À l’heure de célébrer les disparus de la Grande Guerre, nous nous sommes plongés dans la base de données Mémorial Genweb (lire encadré) pour mieux connaître ces soldats tombés pour la France à raison de 700 par jour en moyenne. Une étude des prénoms permet de raconter l’histoire de façon inattendue.
Jean en tête
On ne s’étonnera pas de trouver les prénoms classiques du début du XX e siècle : Jean, Pierre, Louis, Joseph et François sont les cinq prénoms les plus portés par les soldats morts au combat. A eux cinq, ils représentent 79 647 victimes, soit 8 % des soldats morts en 14-18, sans compter leurs variantes en prénoms composés (Jean-Marie arrive en 7e position).
La surprise Claudius
Mais le reste de ce terrible palmarès réserve d’autres surprises comme le prénom oublié Claudius, en 87 e position (844 tués). Entre 1900 et 1914, chaque année, ce prénom était donné à plus de 300 garçons. Le dernier recensé par l’Insee est né en 1989.
Le tribut de Mohamed
Si l’on regroupe les variantes Mohamed, Mohammed, Ben Mohamed et Ben Mohammed, ce sont pas moins de 1 717 soldats qui sont tombés pour la France. De quoi intégrer la liste des 50 prénoms qui ont versé le plus lourd tribut au conflit. 1 204 d’entre eux étaient nés en Algérie, 467 au Maroc et 18 en Tunisie. C’est largement davantage que les Martin (649) ou les Mathieu (572).
John APRÈS 1917
Les monuments aux morts pour la France sont aussi gravés de 354 Giuseppe, 280 Antonio et 260 Giovanni. On compte aussi plus d’un millier de John, dont 797 en 1918, après l’entrée en guerre des Etats-Unis. Autant que de Vincent (729), Frédéric (671) au cours de tout le conflit.
Et les femmes ?
Notre base de données recense 154 Marie, 15 Jeanne, 12 Louise, 6 Marguerite. Bon nombre d’entre elles sont des infirmières fauchées au cours de leur soutien aux troupes.
Des familles surreprésentées
Le classement des 1 000 patronymes les plus touchés (au moins 100 représentants tués) est représentatif des noms de famille qui sont encore les plus portés en France, Martin et Bernard en tête. A l’instar des prénoms, ils racontent la diversité de leurs origines : Martinez, Johnson, Mohamed, Paoli ou Smith font partie des familles les plus endeuillées.