Il est assez impressionnant le Charles Goumi ; il est plus souvent dans des temples autres que musulmans ces derniers temps (temples maçonniques, synagogues…) ! Il est à Jérusalem et en même temps il n’a pas raté le pèlerinage de la Ghriba à Djerba ! Mon pauvre petit Charles Goumi, en être arrivé là, à ce point de soumission, découle assurément d’une malédiction certaine.
Sous la houlette de l’observatoire du Moyen-Orient MEMRI, une conférence-débat est organisée à Jérusalem le jeudi 14 mai, en présence de l’imam Hassen Chalghoumi.
Détesté par la plupart des musulmans de France pour sa main tendue envers la communauté juive et sa fraternité envers tous les peuples, Hassen Chalghoumi, né à Tunis en 1972, est un responsable associatif et religieux franco-tunisien. Il est président de l’association culturelle des musulmans de Drancy, qui gère la mosquée Al-Nour dont il est l’un des imams.
Il se présente comme partisan d’un dialogue inter-religieux, notamment entre islam et judaïsme. Après un début de notoriété en 2006, il est, dans les années suivantes, de plus en plus présent dans les médias français en tant que représentant d’un « islam modéré ».
La classe politique française en fait l’un de ses interlocuteurs dans les milieux musulmans. Sa représentativité, ses qualifications en tant qu’imam et sa médiatisation ont cependant fait l’objet de critiques.
Face à la « montée » d’un islam radical et de certaines « influences étrangères », il plaide pour la formation d’imams « républicains », qui vont « fortifier des valeurs », comme celle de la place à part entière des femmes. Il dénonce l’influence de la confrérie des Frères musulmans sur l’islam, qu’il qualifie de « plaie pour l’Islam ».
Son livre, Pour l’islam de France, est un plaidoyer pour « un islam animé par le mieux-vivre en France », où il regrette que l’islam en France soit « sous-traité aux gouvernements étrangers et aux sectes intégristes »