Le Daily Mail en Grande Bretagne, publie un article explosif cette année afin de tirer la sonnette d’alarme sur une épidémie mondiale de cécité à venir, due à la nocivité extrême des dispositifs à haute énergie et LUMIÈRE BLEUE.
Sujet qui n’est plus cible de controverse en Angleterre (comme les USA, l’Allemagne et d’autres pays développés, à l’inverse du tiers monde scientifique qu’est la France, où l’on n’est certain de rien, sceptiques, ni de la toxicité de l’aspartame, ni les CEM, ni les OGMs … .), la lumière bleue des dispositifs artificiels (écrans, ampoules LED et fluocompactes, … .) est un spectre d’ondes qui, isolé et sans la contrepartie Infrarouges et UV (cf : Photobiologie, LLLT et Photobiomodulation), non seulement détruit la rétine à moyen et long terme, mais détraque chaotiquement l’horloge biologique, car l’on arrive au fur et à mesure des plus récentes études, aux conclusion que l’œil est plus qu’une caméra de vision, c’est l’horloge biologique par excellence de l’organisme, et la rétine est en le chef d’orchestre (rétine qui est liée au noyau suprachiasmatique lui même au récepteur leptine, ce qui explique les liens entre obésité, diabète, alzheimer et les syndromes métaboliques de “civilisation” ou maladies des mitochondries comme l’on arrive à l’évidence dans les milieux scientifiques, en corrélation avec la pollution des lumières artificielles).
Le sujet, à l’inverse des pays développés, est encore flou en France, en avant-gardiste BIOHACKER et sans aucun mérite à l’être (le seul à porter des vrais lunettes Blue Blockers à Orléans peut-être, puisque je suis presque vu comme un Alien avec!), étant malheureusement un des rares en France à pointer du doigt les implications les plus étendues et improbables de cette pollution, ce qui est d’ailleurs amusant c’est qu’aucun des gurus autoproclamés de la nutrition, la “naturopathie” ou l’hygiénisme n’évoque ces aspects les plus fondamentaux de la santé et l’homéostasie qu’est la biologie circadienne et la symbiose de l’homme avec son environnement, l’environnement étant la clé du puzzle, et la biologie circadienne la muse qui garantit l’harmonie des fonctions organiques et psychiques, et c’est ainsi qu’intervient la question du spectre bleu artificiel isolé de nos dispositifs modernes, le bleu (400 à 500 nanomètres) fait partie de ce que l’on appelle une longueur d’onde du champ natif visible du soleil, il intervient en coordination avec le rouge puis les UV dans le concours de la journée, particulièrement la matinée jusqu’au midi, afin de garantir la stimulation du réveil et une énergie optimale, intellectuelle et physique tout au long du cycle diurne, ce spectre, essentiel à la vie des mammifères diurnes diminuant au fil de la progression de la journée, et, en tant que mammifères diurnes, les hommes, les seuls spectres auxquels on est adapté à partir du coucher du soleil sont dépourvus quasiment de bleu et à prédominance rouge et violet (lumière thermique : feu de camp, feu de cheminée, bougie, lampe à huile, … .), le bleu, sans la contrepartie du rouge, a cette capacité à surstimuler la rétine, neutraliser les hormones liées à la régénération et au sommeil (Mélatonine), étirer les mitochondries (ce qui est un désastre pour la chaîne de transport énergétique) surtout dans l’œil, d’où la nécessité de porter des Blue Blockers de haute qualité (à teinture orange foncée, pas les pseudo-blockers vendus par les opticiens en France qui filtrent à peine 20% ou 30%), mais là où c’est encore plus inquiétant, c’est que, la peau, est un puissant chromophore à la grande capacité (notamment grâce à notre constitution à 99% d’eau) d’absorber les différents spectres lumineux et agir en conséquence (ex: production de mélanine et de vitamine D grâce aux UVB, production de NO grâce aux UVA, puissant processus régénérateurs grâce aux Infrarouges A … .), ainsi, de par sa constitution de ce que l’on désigne par OPN5 ou Neuopsins, elle absorbe le spectre bleu ambiant et réagit en conséquence, ce qui est une véritable cascade de chaos pour l’organisme censé se régénérer après le coucher du soleil jusqu’au lever, d’où la nécessité de bien se couvrir le corps le soir en présence d’haute intensité lumineuse.
En sachant tout ceci, il est évidemment absurde de pointer et focaliser sur la diététique, les suppléments ou les médicaments quand l’environnement est toxique. J’exhorte vivement la consultation des travaux de l’éminent scientifique allemand Dr.Alexander WUNSCH, le Dr Michael Hamblin et évidemment le sublissime Dr.Jack KRUSE, sur la photobiomodulation, la photobiologie et l’impact de la lumière bleue sur la santé publique.