Au bout d’un an, la cote de satisfaction d’Emmanuel Macron est en dessous de 30 % et pourtant, il lui reste encore quatre ans de destruction méthodique et systématique du pays. Nous l’avions prévu pendant la campagne électorale et bien avant, on a même averti tout le monde avec la fameuse phrase prémonitoire « Winter is coming » ! L’hiver sera long, glacial et interminable…
Emmanuel Macron va tellement dégoûter les Français de la politique qu’ils seront prêts à voter absolument n’importe comment aux prochaines élections ; c’est d’ailleurs ce qui fait tenir encore ce système démocratique trompeur et ridicule. Les gens seront tellement au fond du trou et démoralisés qu’ils vont croire le premier bonneteur, venu leur promettre monts et merveilles ; rendez-vous en 2022.
Selon un sondage Ifop pour « Le Journal du dimanche », le chef de l’État perd cinq points en septembre.
Seuls 29% des Français sont satisfaits de son action.
Après une rentrée difficile avec l’affaire Benalla et la démission de Nicolas Hulot, Emmanuel Macron ne parvient pas à remonter dans les sondages. Le chef de l’Etat perd cinq points de popularité, selon un sondage Ifop pour le Le Journal du dimanche daté du 23 septembre. Il avait déjà perdu 5 points dans ce précédent sondage, au mois d’août (34%), rappelle l’hebdomadaire. Seuls 29% des Français sont désormais satisfaits de son action.
« Le président est extrêmement fragilisé dans sa relation avec les Français, note dans les colonnes du JDD Frédéric Dabi, directeur général adjoint de l’Ifop. Il n’y a plus que son socle du premier tour de la présidentielle qui tient.»
« La bienveillance, c’est fini »
Le président perd notamment 12 points chez les sympathisants écologistes, conséquence de la démission de Nicolas Hulot, et baisse très fortement parmi ceux du centre (MoDem et UDI).
Parmi les griefs les plus fréquemment exprimés par les sondés, figurent le pouvoir d’achat, le sort réservé aux retraités, le désintérêt pour l’environnement, précise le JDD. « L’édifice est lézardé, analyse Frédéric Dabi. La bienveillance, c’est fini.» Le Premier ministre, Edouard Philippe, est entraîné dans la chute du président et perd 6 points, à 34%.