La grogne populaire contre la mafia maçonnique est en train de grandir et elle est tout à fait légitime puisque la franc-maçonnerie est au cœur du pouvoir depuis plus de deux siècles maintenant en France. Les scandales et autres magouilles se sont multipliés et se poursuivent allègrement. Il est connu de tous – ce n’est un secret pour personne – que les grands ministères régaliens républicains sont tous tenus par des francs-maçons.
La Grande Loge de France a porté plainte après les tags antimaçonniques qui ont été bombés à la peinture rouge le 25 octobre 2018 sur la façade de son siège national, Rue Puteaux, à Paris.
Les messages sont assez abscons, mais clairement hostiles: « Démolisseurs ! On sait pour La Mecque » ou « Affaire des fiches = Dreyfus coupable ». Où l’antimaçonnisme se double sans doute d’antisémitisme.
Rue Puteaux, on m’indique que les caméras de vidéo-surveillance ont permis de déterminer que le tagueur est une jeune femme qui avait pris soin de masquer son visage, la tête recouverte d’une capuche. L’auteure des graffitis était accompagnée d’un homme.
L’enquête se trouve entre les mains du commissariat du XVIIème arrondissement de Paris.
Il y a quatre ans, le siège national de la GLDF avait déjà été victime d’inscriptions malveillantes : « NON A LA RÉPUBLIQUE MAÇONNIQUE ! »