On imagine que les dégénérés droidelomistes vont crier au scandale et expliquer qu’absolument rien n’autorise la société à appliquer la peine de mort et ôter la vie. Sauf qu’il leur sera très compliqué d’imposer quoi que ce soit à la puissante Inde. Ajoutons que s’ils sont certains de ce qu’ils avancent, ils n’ont qu’à mettre en place un référendum permettant au peuple de donner son avis au sujet de la peine de mort en général et celle des pédophiles assassins d’enfants en particulier ! On verra alors qui a raison, on verra également si c’est bien un régime démocratique qui nous gouverne ou juste la mafia maçonnique qui a imposé ce désordre.
Le gouvernement indien a fait savoir vendredi qu’il envisageait d’instaurer la peine de mort pour les violeurs d’enfants, alors que le pays est révulsé par le viol collectif et le meurtre d’une fillette de huit ans.
Des milliers d’Indiens ont manifesté ces derniers jours à travers tout le pays après l’enlèvement pendant cinq jours, le viol et le meurtre par huit hommes d’une fillette d’une tribu musulmane nomade dans l’État du Jammu-et-Cachemire (nord). Selon la police, ce crime visait à terrifier la communauté de bergers musulmans des Bakarwals pour les forcer à quitter la zone, à majorité hindoue.
Le gouvernement indien a communiqué à la Cour suprême que le ministère de la justice « envisageait activement » d’amender la loi sur la protection de l’enfance contre les agressions sexuelles « pour introduire la peine de mort pour les cas d’agression sexuelle aggravée contre les enfants ».
« Le ministère est sensible au sort des jeunes enfants brutalement agressés de la façon la plus horrible », a affirmé le gouvernement dans le texte envoyé à la Cour suprême, selon l’agence Press Trust of India.
La loi indienne prévoit actuellement la peine de mort pour les assassinats particulièrement effroyables ainsi que pour les actes terroristes, même si les exécutions sont rares.
Le Point / AFP