Dieudonné n’a qu’à bien se tenir car la concurrence sera rude les 3 prochains jours, maintenant que le gorille sexagénaire en rut, va devoir expliquer que des dizaines de très belles jeunes call girls professionnelles venaient coucher avec lui pour sa plastique et sa beauté légendaires… Je ne sais pas si le ou la juge va apprécier un tel culot à la barre mais il n’est pas exclu, le dépravé, qu’il s’en sorte blanc comme neige. Je ne doute pas une seconde qu’il fasse une très belle prestation car l’accueil chaleureux qui lui a été réservé a dû lui remonter le moral…
Au tribunal correctionnel de Lille, dans le nord de la France, se tient depuis une semaine le procès de l’affaire Carlton, du nom d’un hôtel de luxe lillois. Jusqu’à présent, les témoignages ont tous montré l’implication de Dominique Strauss-Kahn dans des soirées très débridées et très dénudées. L’ancien directeur général du Fonds monétaire international est poursuivi, parmi d’autres accusés, pour « proxénétisme aggravé ». Ce mardi 10 février, son arrivée au tribunal a été perturbée par un mouvement d’activistes.
L’audition de l’ancien patron du FMI a débuté ce mardi matin. Dominique Strauss-Kahn doit être entendu par le tribunal correctionnel de Lille jusqu’à jeudi, concernant les faits de proxénétisme aggravé qui lui sont reprochés. L’arrivée de l’ancien patron du FMI sur place, ce mardi matin, a été perturbée par des militantes du groupe Femen. Trois activistes aux seins nus ont tenté de se jeter sur le véhicule transportant l’ancien ministre, criant « Macs ou clients, déclarés coupables ! » Elles ont été maîtrisées par la police, mais l’une d’entre elles était parvenue à se hisser sur la voiture.Voilà qui pose l’ambiance, alors que le grand jour est arrivé pour DSK. Des dizaines de journalistes l’attendaient devant le tribunal. Il est entré dans l’enceinte via le parking, une porte dérobée lui permettant d’éviter de traverser la véritable forêt de micros et de caméras déployée sur les lieux. Dominique Strauss-Kahn devait ce mardi matin passer sur le grill à la barre. Trois jours durant, il va s’expliquer sur ces fameuses soirées organisées par des amis lillois à Paris, Bruxelles et Washington. Un véritable bras de fer va s’engager.
Une ligne de défense pour l’ancien patron du FMI : dire et répéter qu’il ne savait pas que des prostituées rémunérées participaient à ces soirées privées. Les preuves à venir émergeraient peut-être de sa confrontation avec les témoignages d’anciennes professionnelles, qui le jugent bien « naïf », pour un homme ayant exercé de si hautes responsabilités. Poursuivi pour « proxénétisme aggravé », rappelons que DSK encoure dix ans de prison si les juges n’envisagent pas la relaxe.
- Source :
http://www.rfi.fr/
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