C’est bien connu, les musulmans dansent à chaque massacre. Dès qu’un séisme touche un pays, on danse, on fait la fête. Si c’est une épidémie c’est encore mieux, on sacrifie des moutons. Ajoutons que le musulman est cannibale, c’est connu aussi, il adore manger de la chair humaine bien guillée au BBQ accompagnée de sauce harissa. À l’instar des fausses images de danse après le 11/9 qui étaient celles de Palestiniens mais qui n’avaient rien à voir avec le 11/9, on nous ressert la même recette en 2016 sans donner de preuves, juste en balançant gratuitement une si grave accusation. Il apparait de plus en plus que les langues se délient pour assumer une islamophobie claire, de plus en plus bruyante, par une caste politique corrompue et traître dont le seul salut réside dans la création d’un bouc émissaire, essentiel à leur survie.
Le ministre belge de l’Intérieur, Jan Jambon, a fait cette déclaration dans le quotidien flamand “De Standaard”.
C’est une déclaration qui ne devrait pas passer inaperçu en Belgique. Le ministre belge de l’Intérieur, le nationaliste flamand Jan Jambon, a affirmé, samedi 16 avril, “une partie significative de la communauté musulmane a dansé à l’occasion des attentats”. Il y voit une preuve de l’échec politique d’intégration des étrangers en Belgique, explique-t-il dans cet entretien avec le quotidien flamand De Standaard.
Cette figure de proue de la Nouvelle alliance flamande (N-VA) ne précise pas où il aurait observé ces pas de danse, ni à quels attentats il fait allusion. Mais il enchaîne : “ils ont jeté des pierres et des bouteilles en direction de la police et de la presse au moment de l’arrestation de Salah Abdeslam. C’est ça le vrai problème”.
“Un cancer beaucoup plus difficile à traiter”
“Les terroristes, on peut les arrêter, les écarter de la société. Mais ils ne sont qu’une pustule. En dessous se trouve un cancer beaucoup plus difficile à traiter. Nous pouvons le faire, mais pas du jour au lendemain”, assure encore le ministre, qui revendique de dépasser “la pensée politiquement correcte” et d’“appeler un chat un chat”.
Il explique aussi que le “danger” lié à la radicalisation de jeunes issus des troisième et quatrième générations de l’immigration a désormais “trop profondément pris racine” dans certains quartiers, car la Belgique “a ignoré pendant des années les signaux de détresse”.
Après les attentats du 13 novembre, Jan Jambon avait créé la polémique en promettant de “nettoyer Molenbeek”, quand il était apparu que plusieurs membres des commandos ayant frappé Paris étaient issus de cette commune qui a désormais la réputation d’être un des principaux foyers du jihadisme en Europe.
France TV Info / AFP