Voici un pertinent extrait du livre Une loge maçonnique dirige le Vatican (chapitre IX – Conclusion) de Johan Livernette :
« Le franc-maçon Jean XXIII avait ouvert une brèche. L’humaniste Paul VI s’y est engouffrée, concluant la révolution conciliaire de Vatican II en 1965. Le marrane et frankiste Jean-Paul II a pris longuement le relais de l’œcuménisme indifférentiste. Dans la continuité du dernier concile, le faux traditionaliste Benoît XVI n’a rien restauré. Suite à sa démission, le révolutionnaire François a aggravé une situation devenue alarmante. L’argentin termine en effet le travail de sape commencé il y a plus de cinquante ans par les pères conciliaires. Il finit d’achever ce qui subsiste de catholique dans l’antre romain. Et ce au service du mondialisme onusien, de cette déferlante révolutionnaire destructrice de nations, de familles et de civilisation chrétienne. »