Voici encore une fois la démonstration de l’explosion du nombre de cancers depuis les campagnes massives de vaccination contre le Covid-19 avec ARN messager qui était présenté comme salvateur, super efficace et sans aucun risque. Le travail est très simple à réaliser : il suffit de prendre la base de données de la Sécurité sociale et de demander les statistiques des cancers depuis 3 ans. Ici, c’est un assureur qui a fait ce calcul car les entreprises privées doivent absolument connaître les risques qu’elles devront couvrir car elles doivent gagner l’argent, elles ne sont pas dans l’humanitaire.
Le résultat est effrayant et fiable car il s’appuie sur une base de données de 2 millions de personnes : le nombre de personnes ayant eu recours à des médicaments contre le cancer en Suisse en 2021 et 2022 a doublé par rapport à 2020, passant de 88 188 en 2020 à plus de 150 000 ! Il est possible d’affiner ces résultats en allant chercher l’augmentation par maladies comme le cancer du sein par exemple : chez les 15-39 ans qui, pour une raison qui reste officiellement inexpliquée, a bondi de +33% en 2021 et +43% en 2022 !
Mais ce qui est extrêmement choquant, c’est de voir que les autorités officielles sont dans le déni sanitaire total aussi bien en Suisse qu’en France et ailleurs. Les pays occidentaux sont ceux qui ont le plus injecté leurs populations avec les poisons de Pfizer et Moderna, ils sont donc terrorisés par le fait d’avoir à rendre des comptes devant des cours d’assises ; vous comprenez bien que parmi tous ces cancers, une grande quantité de personnes décédera d’ici 5 ans car la science médicale moderne est incapable, à ce jour, de soigner les cancers avancés de manière efficace.
Une controverse a éclaté dans les milieux de la santé sur l’étendue d’une augmentation des cancers en Suisse.
Début décembre, le Pr Konstantin Beck de l’Université de Lucerne en Suisse a jeté un pavé dans la marre en se basant sur les chiffres du rapport sur les médicaments de 2023 d’Helsana, un des plus gros assureurs helvétiques dans le domaine de la santé (voir sa présentation en fin d’article).
Selon ces données réputées fiables, basées sur plus de 2 millions d’assurés, le nombre de personnes ayant eu recours à des médicaments contre le cancer en Suisse en 2021 et 2022 a doublé par rapport à 2020, passant de 88’188 en 2020 à plus de 150’000 les années suivantes (voir le tableau).
Pas dû au virus selon le Pr Beck
L’économiste de la santé suisse alémanique, écartant le fait que le SARS-CoV-2 ait pu jouer un rôle dans ce phénomène car cette augmentation n’apparaît pas en 2020, interprète cette variation par un effet délétère des vaccinations Covid et pose une question essentielle, à laquelle nous allons répondre :
Si un troisième facteur est responsable, qu’est-ce qui pourrait expliquer cette augmentation soudaine et extrêmement élevée ?
Une information importante semble avoir échappé au professeur : le marché des anticancéreux est très dynamique et chaque année ils représentent la plus grande partie des nouveaux médicaments mis sur le marché, selon le rapport d’Helsana. Et aussi une bonne manne pour l’industrie pharmaceutique.
Nouveaux anticancéreux utiles aussi contre d’autres maladies
Or, ces dernières années, ce sont les anticorps monoclonaux qui ont commencé à s’imposer comme nouvelle solution pour le traitement du cancer, mais pas uniquement contre cette famille de pathologies.
Ce qui peut expliquer cette augmentation brusque de patients, c’est l’extension de prescription de nombreux médicaments anticancéreux : soit un élargissement du spectre d’application pour des maladies qui n’ont rien à voir avec des cancers (psoriasis, maladie de Crohn, etc.. ), soit un abaissement de l’âge des prescriptions (parfois jusqu’à 3 ans).
Selon toute vraisemblance, il n’y a donc pas eu en Suisse 80’000 patients supplémentaires souffrant du cancer.
Ce serait pourtant une erreur de penser qu’il ne se passe rien d’anormal
Les chiffres des hospitalisations par cause publiés par l’Office fédéral des statistiques (OFS) suisse montrent d’inquiétantes augmentations pour différents cancers.
C’est le cas du cancer du sein chez les 15-39 ans qui, pour une raison qui reste officiellement inexpliquée, a bondi de +33% en 2021 et +43% en 2022 :
La littérature scientifique regorge d’études qui expliquent les mécanismes induits par les vaccins Covid à ARN messager qui favorisent le développement de cancers et de turbo-cancers : les injections inhiberaient la réponse immunitaire de la partie du système de défense naturel qui élimine en temps normal les cellules cancéreuses.
Des explications officielles boiteuses et des données incomplètes
Les retards de prise en charge en raison de la pandémie qui avaient été avancés comme explication lors de la parution des chiffres de 2021 ne peuvent pas expliquer l’explosion de cas encore observés en 2022.
Pour corser le tout, ces chiffres de l’OFS ne prennent en compte que les cancers comme code principal, les admissions hospitalières pour lesquelles le cancer est une cause considérée comme secondaire sont cachées dans les autres causes.
Une explosion des cancers avérée
Globalement, le nombre d’hospitalisations pour des cancers a toujours été très stable de 2016 à 2020, comme le montre le graphique ci-dessous pour les 15 à 39 ans. C’est dès 2021 et le début des injections qu’on a observé des augmentations allant de 26 à 240% suivant les types de cancers.
L’augmentation cumulée pour les cancers en 2021 se monte à 54% par rapport à la moyenne de 2016 à 2020.
Pour les détails, voir le document pdf en fin de l’article que nous avions écrit au sujet des hospitalisations en Suisse en 2021 et dont voici deux graphiques éloquents :