
La guerre psychologique en Europe
Ce concept ne fut pas de naissance européenne, mais asiatique, lorsque les Vietnamiens ou les Coréens retournèrent les esprits de leurs prisonniers en faveur de leur cause patriotique, et diffère de la propagande de guerre dont les historiens français font remonter la source à la lutte, au début des Temps Modernes, des Bourguignons contre les Armagnacs ; celle-ci consiste à déconsidérer moralement l’ennemi aux yeux d’un tiers, pour s’assurer d’une complicité dans l’action et neutraliser tout ressort de résistance. Les peuples conquis sont alors présentés à l’opinion publique comme des sauvages qu’il s’agit de réprimer et conséquemment de civiliser, en identifiant son existence à celle par exemple des Huns, que l’Histoire, cette chimie mentale, comme la désignait avec bonheur Paul Valéry, dépeignait sous des traits horribles, comme ce fut le cas pour la patrie de Mozart et de Beethoven !
La guerre psychologique consiste à retourner le combattant contre sa patrie ou sa famille, et à identifier la cause adverse comme la sienne, en l’identifiant à l’étranger, à l’Autre, comme le disent les semi-habiles, et non à son entourage naturel, et cette torsion mentale renverse sataniquement la maxime évangélique d’aimer le prochain, le très proche, tout comme celui qui nous est le plus immédiat, soi-même, et, à parler morale, ne pas se mépriser, ce qui est contraire, le souligne l’illustre philosophe Kant, à la capacité d’accomplir son devoir.
C’est en ce sens que nous apparaissent aller les organisations scolaires de voyages et d’études élémentaires, au niveau du primaire, de tentatives génocidaires, dont la Suisse, avec l’appui des plus hautes autorités fédérales, vient de donner, notamment à Lucerne, avec son sens de l’organisation, l’exemple ! Il est vrai qu’il ne s’agit point de tous les crimes de la terre, et que les Cipayes attachés aux canons anglais, dont témoignent des gravures de la seconde moitié du XIXe siècle, sont une image effacée de cette fameuse commémoration transformable en mind control ou manipulation mentale ! Ces opérations, qui ont un coût financier, paraîtraient oiseuses et une dépense inutile si le bénéfice ne s’en faisait sentir en géopolitique et si les jeunes Européens ainsi instruits ne venaient en fournir une démonstration, dans l’accueil enthousiaste par nombre d’entre eux, des flots migratoires encadrés strictement par les ONG d’outre Atlantique et protégés par la fée du logis de tous ces nouveaux venus, George Schwartz dit Soros, le milliardaire philanthrope de Budapest, londonien, mais qui réussit à spéculer contre la livre sterling et ailleurs à ruiner, il y a plus d’une génération, après un krach boursier à Singapour, les épargnants japonais, en poussant plusieurs, au témoignage direct reçu d’un ami banquier japonais de Kyoto, au suicide ! M. Suzuki nous en a donné des exemples impressionnants.
George Schwartz dit Soros, le milliardaire philanthrope de Budapest, londonien, mais qui réussit à spéculer contre la livre sterling et ailleurs à ruiner, il y a plus d’une génération, après un krach boursier à Singapour, les épargnants japonais, en poussant plusieurs, au témoignage direct reçu d’un ami banquier japonais de Kyoto, au suicide !
Une image proprement politique donnera la portée de cette entreprise qui accroîtra sa dynamique, car elle est tournée vers l’avenir et ne s’embarrasse pas, contrairement à ce qu’elle veut faire accroire, du passé ! Certain Érythréen, qu’une vidéo sur le net fait voir dans un camp d’accueil, en Allemagne, brandissant le poing fermé, à la manière d’un agitateur communiste d’autrefois, l’Éthiopie et l’Érythrée ayant été profondément marxisées par des petits Soros soviétiques dans les années soixante-dix du siècle écoulé, menace ceux qui lui accordent l’hospitalité et dit le mot magique, le fameux « Sésame ouvre-toi » de la fable orientale, pour ouvrir la caverne d’Ali Baba le Germain, à savoir que vous êtes des racistes. Cet homme a manifestement réussi ses examens scolaires ! En fait c’est le nouveau catéchisme de l’apôtre Soros. Qu’un soldat de l’entité sioniste renverse à Hébron, aux yeux du monde, sur une vidéo très récente, d’il y a quelques jours, un homme paralysé dans sa chaise roulante qui porte secours à une femme ensanglantée étendue à ses pieds, c’est un épisode, dira-t-on à la jeunesse européenne dans les écoles primaires, du conflit proche-oriental, mais que des petits Siegfried et Brunnhilde, ou les Eidi helvètes tardent à servir la soupe, c’est le signe que, comme en Palestine, il faut les sortir de leurs fermes ou de leurs maisons entourées souvent de vergers, pour y installer un marché de la consommation internationale, cependant que Wotan prendra le visage de celui qui montrait au Christ, selon l’image évangélique, qu’il lui distribuerait, en s’inclinant et en collaborant à son œuvre de rébellion universelle, tous les royaumes de la terre ou d’ailleurs ! Je parle du Wotan dont le trône ou la cour est aux Nations Unies et non celui de l’opéra de Paris ou de la colline de Bayreuth dont les Américains libérateurs firent une boîte de nuit ouverte à » la diversité », comme on l’imagine !
Toute guerre enfante, selon le mot du vieux-grec de la Turquie actuelle, Héraclite, car, prétendait-il, elle (ou il, car guerre était du genre masculin, comme en allemand) est le père de toutes choses, et le visage du nouveau-né fécondé par cette guerre psychologique serait bien celui qui sera défait, selon une pieuse tradition, à Damas ! l’Antéchrist au despotisme aussi bref qu’impitoyable, absorbé par l’Enfer qu’il déchaîne !
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