C’est pourtant très simple à comprendre, si les insectes disparaissent, nous ne tarderons pas non plus à disparaître. Il est également très facile de saisir l’incompatibilité entre le système ultralibéral actuel promu par l’union européenne et la protection de l’écosystème.
François Asselineau vous propose une analyse intéressante et inquiétante qui porte sur l’étude de la revue scientifique « Biological Conservation » reprise par l’Express le 11 février dernier.
Celle-ci fait la synthèse de 73 études scientifiques internationales en alertant sur Le « terrible état de la biodiversité » des insectes, qui est en fort déclin.
C’est ainsi une bonne occasion de nous interroger sur la place de l’écologie dans le contexte actuel de la mondialisation.