Dieu ne cesse d’éprouver celui qui veut prouver… prouver qu’il n’est pas égaré à des spectateurs égarés, comme lui.
****
Ce sont les spectateurs qui créent la scène, où nous déployons les simulacres, les mensonges… La vérité est en coulisse et elle nous regarde jouer. Réussir sa vie, accomplir son destin, c’est quitter la scène et rejoindre la vérité en coulisse. On ne peut pas amener la vérité sur scène. Si la vérité devait venir sur la scène, elle la détruirait et la transformerait en tribunal… l’Apocalypse.
****
Les spectateurs révolutionnaires qui veulent détruire la scène ne désirent en fait qu’une chose, trôner sur scène, et y rester.
****
La vraie vie est en coulisse. Comme la vérité est dans les coulisses de la propagande.
****
On croit que les Juifs sont les maîtres des coulisses mais ils sont seulement les maîtres de la scène.
****
Pour les spectateurs, la mort c’est le passage de la scène vers les coulisses, mais en réalité, la mort est l’entrée sur scène, tous les comédiens qui ont le trac vous le diront…
****
Le Christ est vivant en coulisse.
****
Le retour du Christ ne se fera pas vraiment sur scène mais dans le tribunal. Le tribunal qui terrassera la scène. Le dernier tribunal. Sans avocats… le vrai tribunal.
****
Y a-t-il plus crapule que la pire des crapules ? Oui, son avocat. Une société juste est une société sans avocats. On pourrait croire que l’avocat est un parasite qui prospère sur le fumier de l’injustice, mais il est plus exactement la justification, la légitimation de l’injustice. Tous les avocats sont les avocats du Diable. Sauf exceptions…
****
Si on voulait amener le Christ sur scène en le tirant par la manche, on amènerait finalement que sa tunique, sa relique…
****
L’appareil catholique a voulu monopoliser le Christ, le capitaliser. Entrez dans la basilique Saint-Pierre de Rome et vous comprendrez… Mais le Christ ne se laisse pas capitaliser car la vérité n’est pas capitalisable.
****
On va essayer de comprendre le dogme catholique, où Jésus est Dieu en personne. Jésus aurait donc été crucifié, sacrifié pour racheter les péchés de l’humanité, toute l’humanité, y compris les suppôts de Satan, y compris Israël. Donc Dieu a été crucifié par des hommes pour sauver les hommes, et in fine pour sauver Israël. Pour résumer, des hommes ont crucifié Dieu pour sauver Israël. Mais il faut être encore plus précis. Ce sont les chefs du Sanhédrin, les chefs d’Israël qui ont réclamé la mort de Jésus, la mort de Dieu donc, et ils ont obtenu ce qu’ils réclamaient. Voici donc finalement le résumé du dogme catholique : les chefs d’Israël ont tué Dieu pour sauver Israël.
****
Le dogme catholique est mort mais le Christ est vivant.
****
Inversion quand tu nous tiens… Le Vatican est l’ennemi mortel du Christ (le fameux “Grand Inquisiteur” de Dostoïevski-Karamazov), la Mecque saoudiennisante l’ennemie mortelle de l’islam (dans tous les sens du terme…, des musulmans meurent piétinés par la foule à la Mecque régulièrement), et la Jérusalem sioniste l’ennemie mortelle des Juifs (j’en veux pour preuve le bien nommé Holocauste… Ben-Gourion s’est toujours opposé au bombardement des voies de chemin de fer menant aux camps, il escomptait une hécatombe pour justifier ensuite la création de l’État-refuge pour les Juifs… J’en veux pour preuve aussi l’affaire des enfants juifs yéménites, enlevés à leur mère pour subir des expérimentations médicales dans les hôpitaux israéliens… Mais aussi l’affaire des Juifs Mizrahim aspergés de DDT, par les services sionistes, à leur arrivée en Israël… Mais aussi l’affaire des “enfants de la teigne”, 100 000 enfants séfarades irradiés, par les autorités sionistes, avec 700 fois la dose maximale de rayon X dans la tête, au prétexte de traiter la teigne ; pour cette expérimentation nucléaire sur cobaye humain, Israël reçût des États-Unis 300 millions de livres israéliennes… les pires antisémites sont évidemment sionistes et n’ont rien à envier au docteur Mengele… et lorsque nous dénonçons l’antisémitisme psychopathologique de ces héritiers de Mengele, ils nous traitent d’antisémites !).
****
L’incommensurable orgueil catholique : vouloir sauver Israël, vouloir sauver le Sanhédrin, vouloir sauver Caïphe…
****
Bien-sûr que les forces du mal ont attaqué L’Église, mais dès le départ, avec le plus dangereux assaillant : Paul de Tarse… l’homme qui revendiquait sa folie… La catastrophe c’est que l’Église, qui se réclamait pourtant du Christ, a fait de ce Paul un saint…