On attend avec impatience les débunkages des escrocs pseudo journalistes, protecteurs de la République en danger bla bla bla… Vont-ils oser accuser The Times de ‘complotisme’ ? Ou juste avouer qu’ils sont mauvais, corrompus et soumis à la Doxa pour un misérable salaire. Le monde entier serait, de fait, devenu complotiste, sécessionniste, factieux…, ils sont les seuls à voir la vérité contre tous ! Ce sont les derniers remparts contre l’obscurantisme antivax… Il faut dire que c’est très difficile de se mettre à la place d’un médecin No Fake Med, qui a passé les 3 dernières années à répéter bêtement le narratif de la Doxa en traitant ses adversaires de tous les noms d’oiseaux et qui se rend compte, aujourd’hui, qu’il a eu TOUT faux de A à Z ! Bac +10 et être aussi stupide, c’est quand même quelque chose !
Sauf que la Vérité finira toujours par s’imposer, quels que soient les milliards d’euros dépensés par les voyous mondialistes.
“Les scientifiques de Wuhan travaillant aux côtés de l’armée chinoise combinaient les coronavirus les plus meurtriers du monde pour créer un nouveau virus mutant au début de la pandémie. Les enquêteurs qui ont examiné les communications interceptées top secrètes et la recherche scientifique pensent que les scientifiques chinois dirigeaient un projet secret d’expériences dangereuses, qui a provoqué une fuite de l’Institut de virologie de Wuhan et déclenché l’épidémie de Covid-19. Le Sunday Times a examiné des centaines de documents, y compris… des rapports confidentiels, des notes internes, des articles scientifiques et des courriers électroniques qui ont été obtenus par des sources ou par des militants de la liberté d’information au cours des trois années qui ont suivi le début de la pandémie. Notre nouvelle enquête brosse le tableau le plus clair à ce jour de ce qui s’est passé dans le laboratoire de Wuhan. L’installation, qui avait commencé à rechercher les origines du virus Sars en 2003, a attiré un financement du gouvernement américain par le biais d’une organisation caritative basée à New York. Le principal scientifique américain sur les coronavirus a partagé des techniques de manipulation de virus de pointe. L’institut était engagé dans des expériences de plus en plus risquées sur les coronavirus qu’il récoltait dans les grottes de chauves-souris du sud de la Chine. Au départ, il a rendu ses conclusions publiques et a fait valoir que les risques associés étaient justifiés parce que les travaux pourraient aider la science à développer des vaccins.
Cela a changé en 2016 après que des chercheurs ont découvert un nouveau type de coronavirus dans un puits de mine à Mojiang, dans la province du Yunan, où des personnes étaient mortes de symptômes similaires au Sars. Plutôt que d’avertir le monde, les autorités chinoises n’ont pas signalé les décès. Les virus trouvés là-bas sont désormais reconnus comme les seuls membres de la famille immédiate de Covid-19 connus pour avoir existé avant la pandémie. Ils ont été transportés à l’institut de Wuhan et les travaux de ses scientifiques ont été classifiés. Selon les enquêteurs américains, le programme classifié visait à rendre les virus des puits de mine plus infectieux pour les humains. Ils pensent que cela a conduit à la création du virus Covid-19 et qu’il s’est infiltré dans la ville de Wuhan après un accident de laboratoire.
Il est devenu de plus en plus clair que l’Institut de virologie de Wuhan a été impliqué dans la création, la promulgation et la dissimulation de la pandémie de Covid-19 ,’ a déclaré l’un des enquêteurs. En 2017, selon un article publié par Shi, ses scientifiques avaient cherché à créer huit virus mutants à partir des coronavirus de type Sars trouvés dans la grotte de Shitou. Deux des virus mutants infectaient les cellules humaines. Le virus mutant qui a fusionné WIV1 avec SHC014 a tué 75 % des rongeurs et était trois fois plus mortel que le WIV1 d’origine. Au début de l’infection, les poumons de type humain des souris contenaient une charge virale allant jusqu’à 10 000 fois plus grand que le virus WIV1 d’origine. Les scientifiques avaient créé un super-coronavirus hautement infectieux avec un taux de mortalité terrifiant qui, selon toute probabilité, n’aurait jamais émergé dans la nature. La plupart de ces travaux ont été effectués dans les laboratoires de niveau de biosécurité 2 (BSL-2) de l’institut, qui n’ont pris que de légères précautions qui ont été comparées à celles utilisées dans un cabinet dentaire.
Richard Ebright, de l’Université Rutgers… a passé en revue… les expériences et les décrit comme” de loin les recherches les plus imprudentes et les plus dangereuses sur les coronavirus – ou même sur tous les virus – connues pour avoir été entreprises à tout moment et en tout lieu.