On reconnaît un con à ce qu’il ose tout, dit-on. Il semble bien que ce proverbe s’applique au torchon raciste de Valeurs actuelles ! Comment peuvent-ils oser parler de débarquement, alors que 1200 personnes sont mortes en l’espace de 4 jours ? Comment osent-ils parler de débarquement quand il s’agit de personnes misérables et faméliques, dont la santé est gravement compromise, fuyant des théâtres d’opérations de guerre particulièrement sanglantes et exposées à un danger permanent ? Guerres fomentées et armées par l’Occident de Valeurs actuelles ! Insinuerait-il par là que ces embarcations de fortune dérivant vers les côtes septentrionales de Mare Nostrum, représentent une menace pour les arsenaux navals français ?
Rappelons que ces voyous de Valeurs actuelles dirigés par un certain Kerdrel ont diffusé un faux sondage, totalement inventé par eux, pour soutenir Sarkö (septembre 2014) ! D’ailleurs, le délinquant Yves de Kerdrel, directeur de la publication, a été condamné par la XVIIe Chambre du TGI de Paris à 2000 € d’amende pour provocation à la haine raciale ! Il sera une seconde fois condamné le 5 mars pour les mêmes raisons, à la suite de ses attaques racistes et violentes contre les Roms ! C’est que le Kerdrel est un délinquant récidiviste mais soyez sans crainte, il aura toujours sa place sur iTélé et je ne sais quel autre organe officiel de propagande ! Cela est certainement dû à leur côté éthique et à leur sens de la déontologie ! Les « valeurs » de Valeurs actuelles se situent précisément dans la tromperie, le mensonge et la propagande, qu’on se le dise. Est-il utile d’informer le lecteur que ce voyou de Kerdrel fut invité en 2006 à la réunion annuelle du Comité de Bilderberg au Canada ?
Petite crapule de Kerdrel, votre train de vie fastueux vous le devez à la rapine de l’Afrique et de ses ressources naturelles mais ça vous devez le savoir mais faites mine de l’ignorer dans votre déchéance actuelle ! Ce petit traître atlantiste vendu à Mammon ose la jouer patriote nationaliste ! Quelle déchéance…
Les deux couvertures ont, avec leur titre blanc sur un rectangle rouge, des maquettes similaires. Les deux photos d’un canot de migrants au milieu de la mer et les titrailles jaunes renforcent encore la ressemblance mais dès qu’on regarde les images, dès qu’on lit les titres, la différence saute aux yeux.
À gauche, le très libéral, très conservateur et très anti-européen Economist affiche une photo en plan large nous montrant un canot s’enfonçant dans la mer et les migrants perdus dans l’immensité qui tentent de survivre à ce naufrage. Europe’s boat people – A moral and political disgrace, Les boat people de l’Europe – Une honte morale et politique, titre l’hebdomadaire. Et dans son article il n’y va pas par quatre chemins :
« L’Union européenne aime se vanter d’être une force du bien. Mais depuis dix jours, ce sont près de 1 200 boat people qui se sont noyés dans les eaux de la Méditerranée. Parmi eux, un nombre inconnu de réfugiés syriens, érythréens et somaliens fuyant la guerre ou la persécution. S’il sont morts, c’est en partie parce que la politique européenne sur le droit d’asile est un échec moral et politique. »
L’Europe est même allée, précise-t-il, jusqu’à proposer de « ne pas intervenir et de regarder des innocents se noyer pour en dissuader d’autres de les suivre. Cette logique est une erronée en plus d’être moralement répugnante. »
Le discours anti-européen de The Economist est rude – et sans aucun doute ici fondé – mais sa couverture est tout empreinte d’humanité :[…]