Cette série de 4 articles donne une idée précise et sérieuse sur l’identité d’Aleister Crowley, ses actions occultes et son œuvre littéraire. Nous allons poursuivre cette étude avec une biographie succincte de ce démon, afin de mieux comprendre qui il est et d’où il vient. La différence entre les défenseurs et nous-mêmes c’est que l’on a lu les écrits de Crowley ainsi que des preuves de son culte satanique et de sa duplicité dans les services de renseignement de la couronne britannique. Nous allons vous exposer, ici, les faits.
Lire les précédents articles ici de la série sur A. Crowley : 1, 2 et 4.
Edward Alexander Crowley est un sataniste non déplaise à certains. Ah ces clowns, adeptes du dégénéré laird de Boleskine ! Ils s’évertuent systématiquement depuis quelques années à faire passer Crowley pour un non-croyant à fin que l’on ne puisse l’affubler de l’accusation de satanisme. La bonne affaire ! Selon eux, il suffit d’être athée pour ne pas être sataniste ! Comment peut-on être aussi stupide au point d’oser sortir une telle ânerie ? Il est vrai que dans cet Occident athéisé, voire même athégriste, il est difficile de parler de Satan sérieusement en le considérant comme une entité réelle maléfique qui pousse à la perte de l’Humanité. Ce qui est, ma foi, tout à fait logique puisque le paradigme moderne n’inclut pas cette réalité. Il est, par contre, insupportable, malhonnête et extrêmement chronophage de faire semblant de ne pas intégrer cette réalité lorsque l’on parle de satanisme. En d’autres termes, le paradigme religieux de toutes les traditions humaines, depuis des millénaires, parle de Satan, comme un adversaire de l’Homme et que ce dernier doit combattre de toutes ses forces à fin de sauver son âme. Il n’y a pas que Satan à combattre, bien sûr, puisqu’un des plus grands ennemis de chacun d’entre nous est bien son propre ego. Ainsi, selon le paradigme religieux, un athée est un sataniste, quand bien même il met en avant sa non-croyance en Dieu. Se prendre pour l’alpha et l’oméga de la création, croire en soi comme seule finalité est également du satanisme. Aucune de ces croyances n’est apparue, ni venue d’elle même sur terre ; elle a eu ses propres penseurs, ses propagandistes, ses prêtres qui en ont parlé et fait sa promotion ; personne n’est libre de ce qu’il pense, absolument personne.
En d’autres termes, c’est la condition humaine qui empêche l’homme de s’extraire de cette réalité. Ne pas croire en Dieu c’est déjà mettre Dieu au centre du raisonnement. Sans oublier la ruse élémentaire du diable que tout le monde connaît, et qui consiste à faire croire qu’il n’existe pas… La franc-maçonnerie a tenté elle aussi de faire accroire qu’elle était athée, notamment le GODF à partir de 1905, date à laquelle cette loge a changé ses statuts. En réalité, cette hérésie couvait déjà depuis quelques décennies, ne se matérialisant qu’en 1905. Pourtant, les loges affiliées au GODF continuaient et continuent aujourd’hui encore de plancher et de réaliser leurs rituels kabbalistiques dans le temple de Salomon, un temple portant le nom du prophète du Dieu des trois religions monothéistes ! C’est tout de même extraordinaire n’est-ce pas ? Nous vivons une période d’une telle médiocrité que nos contemporains sont incapables de relever d’aussi gigantesques contradictions.
À travers le solstice acharné à l’équinoxe,
Je m’extasie ; et je viole et j’arrache et je déchire,
Éternel, monde sans fin,
Mannequin, demoiselle, ménade, homme,
Dans la puissance de Pan.
Io Pan ! Io Pan Pan ! Pan ! Io Pan !
Hymne à Pan, A. Crowley.
Ainsi, en quelques phrases, nous avons détruit l’argument nul et non avenu de l’athéisme de Crowley. Mais nous pouvons y ajouter quelques autres, et pas des moindres, afin de démontrer cette supercherie. Par exemple, Crowley était un grand spécialiste de la kabbale juive et avait construit toute son œuvre de magie noire autour des 10 sephiroths et de leurs 22 sentiers correspondant au tarot qu’il utilisait très régulièrement et qu’il perfectionna même. C’est tout de même culotté de se déclarer athée tout en pratiquant la sorcellerie kabbaliste ! Mieux encore, d’autres détails nous indiquent dans quel camp, ce mage maléfique évoluait. Il n’est que de rappeler, par exemple, le nom qu’il donna à sa première fille issue de son union avec Rose Kelly : Nuit Ma Ahathoor Hecate Sappho Jezebel Lilith. Sachez seulement que Lilith est le nom de l’épouse de Satan le maudit. Elle est entièrement créée par la tradition kabbaliste juive qui la présente comme tueuse et dévoratrice d’enfants, par haine viscérale d’Eve qui a en plus le bonheur d’être fertile, contrairement à elle. Donner ainsi le nom d’un démon à sa propre fille relève de la pathologie mentale. À ce propos justement, parlant de maladie mentale, il faut savoir que sa première épouse finira alcoolique et complètement folle dans un asile psychiatrique (certainement un des effets secondaires de recherche de la sagesse comme nous le présentent certains !). Il faut savoir également que Lilith fut utilisée comme symbole de la libération de la femme. Pour finir, dernière anecdote, il faut savoir qu’à sa mort, en décembre 1947, Louis Wilkinson, ami de Crowley, lut à ses funérailles son Hymne à Pan. Il est question dans ce texte d’une ode à Satan, le baphomet d’Éliphas Lévi dont il se disait être une réincarnation. Rappelons enfin que Crowley avait le grade de baphomet à l’intérieur de l’OTO. La boucle est ainsi bouclée. Nous renvoyons le lecteur à la poésie de René Guénon concernant Pan justement et intitulé, Les aspects de Satan : J’avouerai qu’à mes yeux ce terrible Satan/D’une étrange façon rappelle le Dieu Pan !
Un autre argument est balancé assez régulièrement par les adeptes de ce dégénéré sociopathe, c’est le fait d’être un « dandy » dont le seul objectif serait de « choquer le bourgeois » ! Être obligé de contrer un argument aussi faible est extrêmement pénible. Le terme « dandy » ne veut pas dire grand-chose en réalité puisqu’il décrirait quelqu’un à l’habit raffiné, quelque peu efféminé, avec un minimum de culture et qui serait caractérisé par une certaine excentricité. Il n’a jamais été question, dans le dandysme, de meurtres, de magie noire et sorcellerie,de franc-maçonnerie et loges occultes, de drogues ou de complots avec les services secrets… En vérité, ce caractère de dandy permettait d’exonérer Crowley de toute morale, de tout sentiment patriotique, ou toute autre opinion politique ou intellectuelle sérieuse et affirmée. Encore une fois, cette ruse ne peut fonctionner car la lecture du livre de Richard B. Spence, Aleister Crowley, agent double 666*, démontre l’exact contraire. Ce livre exceptionnel, riche de plus de 500 notes de bas de pages et références des archives d’État de plusieurs pays européens et bien sûr Yankees, démontre, sans aucune possibilité de contradiction ou de doute, que Mega Therion 666 (ou Grande Bête 666) était un patriote britannique qui a travaillé toute sa vie durant en tant qu’agent des services secrets de la couronne.
Revenons maintenant au vrai travail de la bête effectué la première moitié du siècle dernier. Effectivement, Richard B. Spence a prouvé sans grande difficulté qu’il fut agent double, voire triple (p. 3). Mais il faut savoir avant toute chose que les services secrets modernes ont toujours été imbriqués avec l’occultisme et les loges maçonniques. Il faut bien comprendre que la reine Élisabeth Ire d’Angleterre eut comme conseiller le célèbre John Dee portait le numéro 7 en tant qu’agent des services secrets (ce même numéro qui donna naissance à l’agent 007 hollywoodien !). John Dee était un mathématicien cartographe qui fut à l’origine de l’empire britannique, grâce à ses connaissances et à sa volonté de conquérir le monde par les mers. Il était également occultiste et adepte de magie noire ; il produira une somme importante de conversations avec les « anges » (sic) via son alphabet énochien qu’utilisera Crowley plus tard dans le désert algérien sous mescaline. Il aura pour assistant un certain Edward Kelley dont Crowley se prenait pour la réincarnation. Bref, très tôt, en Europe, les services secrets furent impliqués dans l’occultisme et ceci demeure encore de nos jours.
Un programme militaire utilisant magie, hypnose, drogue… a été mis en place aux USA depuis les années 50 au moins. Le livreThe Men Who Stare at Goats en parle parfaitement, il a d’ailleurs été adapté au cinéma dans Les chèvres du Pentagone. L’objectif du très officiel Stargate Project (à fort Mead et fort Bragg) était de voir à distance, rendre invisible, tuer à distance (un des rêves de Crowley), manipuler et créer des tueurs professionnels… Crowley est un des précurseurs du programme MK-Ultra grâce à l’hypnose, la sorcellerie, la drogue comme la mescaline… Il faut savoir que la volonté de devenir invisible est une ancienne tradition de sorciers qu’une secte satanique mexicaine dirigée par « El padrino de Matamoros » utilisait pour faire passer de la drogue aux USA. CE psychopathe présentait l’exact profil de Crowley justement (drogue, dépravation sexuelle, tarot, sorcellerie…). Des bataillons de médiums ont également été utilisés lors de la guerre mondiale afin de localiser les sous-marins ennemis à coups de pendules. N’est-ce pas stupéfiant de contradiction au sein du paradigme moderne scientiste occidental !
« Do what thou wilt shall be the
whole of the Law »
La puce Crowley sera mise à l’oreille de Richard B. Spence lorsque les services archives du MI5 et MI6 affirment n’avoir aucun document, aucun fichier sur lui malgré ses très nombreuses implications avec quasiment tous les espions anglais et allemands lors de la grande guerre. Chose inimaginable voire un tantinet insultante. Sauf que, peu à peu, des fichiers apparaissent et il faut dire que les services secrets étrangers ont également réalisé des enquêtes sur ce dégénéré. La Golden Dawn elle-même était un repère d’espions et de comploteurs, étant donné que son gourou suprême, Samuel MacGregor Mathers fut impliqué dans différents complots contre l’Espagne, le Portugal voire l’Angleterre, car c’était un légitimiste jacobiste contre la reine Victoria et ses influences allemandes des Saxe-Coburg et Gotha. Sans oublier Theodor Reuss, le patron de l’OTO branche allemande, pur produit de l’illuminisme de Weishaupt puisqu’il se présentait comme le chef des illuminati (p. 73). Reuss était également très proche de Rudolph Steiner (p. 118), ex-théosophe qui créa sa propre secte, l’anthroposophie, toujours active de nos jours (cf. les produits Weleda). Il fut très haut placé dans les services secrets allemands et un proche de William Wynn Westcott, un des fondateurs de la Golden Dawn avec MacGregor Mathers. Ce monde occulte est vraiment très petit. D’ailleurs Crowley va très vite gravir les grades de ces ordres, trop vite pour certains (p. 51). Comme toute bonne secte satanique qui se respecte, il faut savoir que les rapports entre Crowley et Mathers ont très très mal terminé, puisque chacun accusait l’autre de charlatanisme, chantage voire de tentative de meurtre par sorcellerie ! Dans sa propre secte, l’A.’. A.’., dans laquelle on peut trouver des agents des SS comme un certain J.F.C. « Boney » Fuller ou le commandant de marine Guy Montagu Marston (p. 65). Sans entrer dans le détail, le séjour de Crowley aux USA débuta le jour d’Halloween 1914 et dura 5 ans au cours desquels il travaillera avec quasiment tout ce que les USA comptaient comme espions. Sa duplicité consistait à se faire passer pour un anti-british afin d’infiltrer les Allemands et déjouer leurs efforts de guerre. Mais le plus gros travail en filigrane, sera de faire entrer les USA dans la grande guerre et c’est ce qu’il réussira, sans conteste. La manière utilisée est assez spectaculaire puisque Richard B. Spence l’accuse d’être responsable de l’attaque contre le Lusitania qui fut effectivement décisive (cf. note 8, p. 150). C’était encore une false flag attack dont seuls des démons peuvent en être capables puisqu’ils tuent leurs propres compatriotes et soldats. Il faut ajouter que Gerald Gardner était également en contact avec Crowley, Gardner n’est que le créateur de la religion satanique new-ageuse de la Wicca ! Anton Szandor LaVey, le gourou de l’église satanique US et auteur de la bible satanique (sic) fut un adepte fidèle de l’enseignement de Crowley. Sans oublier de citer, on en a déjà parlé, Jack Parsons ou tout simplement Ron Hubbard, le pitre qui a su créer l’église de scientologie ! J. Parsons avait pour hobby de créer un enfant de la lune ou Moon Child selon l’enseignement de Crowley, il avait aussi pour habitude incestueuse de coucher avec sa propre mère ! Il entretenait une correspondance régulière avec Crowley qui a su le guider dans sa quête de sagesse et de connaissance… De qui se moque-t-on, franchement ?
Une autre anecdote est relatée dans ce livre de Spencer à la page 214, le témoignage d’une dame l’ayant hébergé, Frances Gregg, affirmant l’avoir vu avec une malle pleine de perruques. Articles de déguisement indispensables aux espions pour passer inaperçus. Il faut également savoir que Crowley écrivait régulièrement des nouvelles dans lesquelles il imbriquait fiction et réalité et dans lesquelles on reconnaissait des personnages ainsi que des affaires ayant défrayé la chronique : The Natural Thing to Do, Pasquaney Puzzle, A sense of Incongruity… Ajoutons à tout ceci le signe du V de la victoire que fera Churchill et qui lui sera indiqué par Crowley afin de contrer l’occultisme caché sous le salut nazi. Nous allons arrêter ici ces révélations de faits innombrables qui prouvent que Crowley était très loin d’être un dandy excentrique mais bien un petit espion à la solde de sa majesté la reine d’Angleterre, sachant parfaitement ce qu’il faisait. Preuve ultime de cette réalité, il finira sa vie en Angleterre malgré ses très graves trahisons en temps de guerre.
Nous n’avons donc aucun scrupule à restaurer le « culte diabolique » d’idées telles celles que les lois du son, et les phénomènes de la parole et de l’écoute…
A. Crowley, Magick, p. 244.
À partir du moment où on présentait Crowley comme un athée, il fallait trouver une excuse pour toutes ses recherches paranormales, la kabbale, son intérêt pour la sorcellerie et expliquer cette contradiction. D’aucuns, de sacrés culottés, osèrent parler de recherche du savoir voire de sagesse ! C’est le cas du traducteur et de l’éditeur français de Magick, son dernier livre. La vie de Crowley est parsemée de meurtres, assassinats en tous genres (cf. les affaires criminelles Wych-Elm et Charles Walton, p. 420), accusations de crimes rituels d’enfants ce qui le fit expulser de biens des pays, partouzes, usages de toutes les drogues possibles et imaginables, volonté de créer un enfant magique via la sorcellerie,… comment peuvent-ils oser appeler cela une recherche de sagesse cachée ?
Concernant justement les crimes rituels d’enfants, que toute vraie sorcellerie exige comme l’ont tant démontré des procès connus (cas des Zouhris…), les thuriféraires de ce déchet de l’humanité osent prétendre qu’il ne l’a jamais fait, alors que lui-même l’écrivait dans son livre Magick à partir de la page 307 de l’édition française, au chapitre XII intitulé : Du Sacrifice Sanglant, et des Questions Afférentes. Il nous explique le plus calmement du monde qu’un sacrifice sanglant d’être humain, un enfant de préférence, est ce qu’il y a de plus puissant pour le succès du rituel. Mais attention, ne vous méprenez pas, la victime ne souffre aucunement du fait de se faire égorger, c’est une réelle bénédiction, voire miséricorde (p. 310) car son esprit élémental se hisserait directement vers la Divinité ! Je ne parierai pas un kopeck sur cette affirmation qui n’engage que ce timbré mais bon, vous pouvez toujours essayer pour voir. Il est question tout de même de 150 enfants sacrifiés par an entre 1912 et 1928 ! Pire encore, il trouve que l’utilisation d’animaux en sorcellerie en vue d’obtenir un esclave élémental est indéfendable ! On croit rêver, mais non ! L’excuse trouvée par les sectateurs de la Bête est le fait qu’il ne trouvait pas le sacrifice d’enfants moral !!! Sic sic sic et resic ! On nous explique que c’est un dandy excentrique qui passa sa vie à s’amuser des règles sociales pour choquer ses contemporains et puis d’un coup on nous parle de morale (cf. préface de Magick à la page C) ! Oser parler de morale concernant Crowley que tous décrivent comme immoral, pervers, égoïste, sadique… est tout simplement hors propos et mensonger. Il suffit également de voir les visages des crowleyens pour comprendre tant de choses. La laideur ténébreuse d’un M. Manson, d’un Gardner, d’un Parsons, d’un Hubbard… ne peut être que parlante, vu son origine surnaturelle maléfique. Il suffit de voir le visage de l’entité démoniaque Aiwass (cf. photo de droite) à l’origine du livre de la loi dicté en Égypte, il n’a rien à voir avec quoique ce soit de sage ou de supérieur.
En réalité, Crowley et ses acolytes illuministo-rosicruciano-frères-la-truelle sont ce que l’on appelle dans la tradition islamique les alliés de Satan (Awliyaou eshaytine) le maudit. Ils ont infiltré la totalité des services secrets occidentaux (rappelons la présence extraordinaire de la secte maçonnique dans les services secrets français (la fraternelle de la défense) ou tout simplement le complot de la loge P2 de Licio Gelli impliquant les plus hauts gradés de l’armée en Italie…). Le seul objectif de ces crapules est de faire venir l’antéchrist quel que soit le moyen utilisé. Il est vrai que la pseudo religion de ce dégénéré, Thelema, est un excellent moyen d’y parvenir puisqu’elle place la « volonté » pure comme seule moyen de parvenir à ses objectifs, en dehors de toute considération morale ou éthique. L’étude et la compréhension de ce paradigme, identique au sabbataïsme d’ailleurs, explique bien des choses actuelles comme le 11/9, la guerre du Golfe, les génocides… Il n’y a rien à garder, rien à prendre des travaux de ce malade mental destructeur ; tel le déchet qu’il fut dans sa vie, il finira dans les poubelles de l’histoire humaine.
Après cette longue description de la carrière chaotique de ce grand sociopathe, il est intéressant de constater qu’un Alexandre Douguine, qui en fait l’apologie, est également quelqu’un des services secrets russes. On reste dans la même fange nauséabonde des sorciers et autres occultistes, maudits adorateurs du diable. Quant à la postérité de la Bête, il faut dire qu’elle a réussi son coup puisque toute la propagande hollywoodienne est sous domination sataniste thélémite comme le prouve la vidéo ci-dessous (cf. le témoignage consternant de Will Smith). Sauf qu’il faut bien dire que cette situation est naturellement plus due à l’époque finale de ce cycle de l’Humanité et que Crowley n’en est qu’un piètre rouage sombre et ténébreux. Un simple rouage comme l’ont été H. Blavatsky, R. Steiner, G. Gurdjieff, G. Gardner… dans un plan global dont ils ignoraient presque tout.
Crowley finira sa vie assez seul et sans le sou, comme tout charlatan bonneteur qui se respecte. Les excès de drogues ont été responsables de sa fin justement. Les proches du pervers lui ont attribué deux phrases au moment de sa mort : « Je suis perplexe » selon son Frieda Harris ou bien « Parfois, je me déteste » selon son infirmière. Dans les deux cas, la Grande Bête 666 ne laisse aucune perplexité ni doute sur sa dernière demeure quoi qu’en disent les naïfs et les imbéciles, une demeure qu’il détestera de toute son âme maudite : l’Enfer éternel. Amen.
Documentaire anglais intéressant sur A. Crowley (à traduire si vous en avez l’envie et l’énergie). Il est très curieux que très peu de gens parlent de l’aspect « services secrets » du travail de Crowley :
https://www.youtube.com/watch?v=GKjXPVN9cmU
* Les numéro de pages indiquées sont issus de l’édition française de ce livre traduit aux éditions Camion noir (spécialisées en sorcellerie !), dépôt légal en mars 2012. 36 €.