Encore un témoignage qui prouve que la politique d’aujourd’hui est dictée par des marionnettes aux ordres de commanditaires inconnus du public. M. Valls veut imposer des lois qui vont dans le sens des lobbyistes et des réseaux occultes ; il n’a jamais eu la volonté de travailler avec les partenaires sociaux concernant cette loi travail, ni avec les professionnels de santé concernant la loi sur le tiers payant et encore moins avec le peuple concernant la vaccination (on y reviendra dans un autre article). Preuve en est, les millions de Français dans la rue contre le Gender et le lobby LGBT, pourtant la loi est bien passée. La pétition à près de 800.000 signatures à ce jour ne sert à rien, absolument rien, les ordres viennent d’ailleurs et l’agenda doit être respecté.
Nous vivons dans une dictature dirigée par le clergé maçonnique qui veut imposer sa vision du monde à la multitude. Qui a aujourd’hui le courage de voir cette cruelle réalité en face ?
Pierre Jacquemain a claqué la porte du ministère du Travail, mi-février, car il était en désaccord avec l’avant-projet de loi sur la réforme du Code du travail. Il a accordé un entretien à « L’Humanité ».
« Ce projet de loi est une erreur historique. » Quand il évoque la réforme du Code du travail, Pierre Jacquemain n’a pas la langue dans sa poche. Jusqu’à la mi-février, il était chargé de préparer les discours et les entretiens de la ministre du Travail, Myriam El Khomri, avec la presse. Mais il a fini par démissionner, furieux contre l’avant-projet en cours de rédaction, comme il l’explique dans les colonnes de L’Humanité, lundi 29 février.
« La politique du ministère du Travail se décide à Matignon »
« J’ai peu à peu compris que nous perdions la bataille. En réalité, la politique du ministère du Travail se décide ailleurs, à Matignon. C’est le Premier ministre qui donne le ton. » Selon lui, le texte est donc largement piloté par Manuel Valls, sans égard pour le travail de consultation mené par la ministre du Travail. Le 17 février, déjà, un article du Canard enchaîné évoquait le poids du Premier ministre dans le dossier. Après avoir relu un entretien accordé par Myriam El Khomri aux Échos, Matignon aurait fait ajouter la référence à un éventuel recours à l’article 49.3, avant publication, et sans en avoir averti l’Élysée.
Myriam El Khomri « a mené une concertation fructueuse avec les partenaires sociaux, qui a débouché sur de réelles avancées », assure pourtant Pierre Jacquemain, tout en regrettant leur absence dans le texte final. Ancien collaborateur de Clémentine Autain, et plutôt situé à la gauche de la gauche, Pierre Jacquemain n’hésite pas à qualifier l’avant-projet de loi de « non-sens politique » : « Quand on se dit de gauche, quand on s’estime progressiste, je ne vois pas comment on peut soutenir un tel texte. »
France TV Info