On nage en plein délire islamophobe, un délire des plus grave ! Heureusement que la Marine est là pour nous rassurer ; l’islamophobie n’existe pas, c’est une vue de l’esprit…
Les Bahori, une famille bruxelloise, sont désespérés. L’un de ses cinq enfants, Hicham (12 ans), retourne tous les dimanches soir dans son internat à Ciney alors que ni lui, ni ses parents le souhaitent. D’après la famille, ils y sont obligés par la SAJ (Service de l’Aide à la Jeunesse).
Tout commence quand Boubker Bahori, le papa d’Hicham, se rend compte que son fils a des difficultés en mathématique. Le jeune homme a un léger retard mental et n’arrive pas à suivre dans cette matière. La SAJ conseille à la famille de se diriger vers une école spécialisée.
Hicham est, alors, changé d’école et est inscrit à Ciney. Mais l’enfant ne se sent pas bien dans son internat. Un éducateur le maltraite et lui donne des gifles régulièrement.
Encore plus grave, l’éducateur l’oblige à manger du porc alors qu’Hicham est de confession musulmane. Malgré une plainte, l’éducateur travaille encore dans cette institution. Les services sociaux sont, à ce moment, avertis. Mais selon l’assistant social, ce retard serait la conséquence de maltraitances familiales et que pour l’enfant, son bien-être équivaut à un éloignement entre lui et sa famille.
Nous avons contacté Rachid Madrane (PS), ministre du Service d’Aide à la Jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Selon son attachée de presse, le ministre est au courant de cette affaire complexe et a indiqué qu’une enquête a été diligentée auprès de la SAJ de Bruxelles.
- Source :
http://www.lacapitale.be/
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