C’est ce même personnage de la diplomatie française très lié aux services de renseignements, totalement impliqué dans le système mafieux de la Françalgérie qui vient faire à l’Algérie ce discours hypocrite et vide de sens. Si vraiment le gouvernement français était l’ami de l’Algérie, il n’aurait pas facilité le pillage de ses richesses et il ne servirait pas actuellement de base arrière à des mafieux comme Abdeslam Bouchouareb, ex-ministre de l’industrie actuellement en fuite et recherchée par la justice algérienne ! D’autant qu’il a la nationalité française et un nombre incalculable de biens acquis en France avec l’argent de la rapine. C’est ce même Xavier Driencourt proche du franc-maçon Alexandre Djouhri qui a invité ce dernier à l’ambassade afin de rencontrer Emmanuel Macron ! Rappelons juste qu’Alexandre Djouhri était sous le coup d’un mandat d’arrêt international du fait de son implication dans l’affaire de financement illégal du parti politique de Sarkozy par l’argent public libyen !
Bref, la première action salvatrice que puisse entreprendre l’Algérie pour défendre ses intérêts est de fermer immédiatement l’ambassade de France, le temps que la totalité de son personnel soit renouvelé et remplacé par d’authentiques diplomates et non des voyous, des francs-maçons et autres agents secrets.
L’ambassadeur de France en Algérie, Xavier Driencourt, s’est exprimé hier, lors d’une conférence animée à la villa des Oliviers, à El Biar, à l’occasion de la fête nationale française, sur les événements en Algérie et les relations entre la France et l’Algérie.
M. Xavier Driencourt a souligné que « nous autres diplomates, n’avons peut-être pas vu juste. Il faut l’avouer, nombre d’entre nous n’avions pas perçu la formidable force de changement qui sommeillait dans ce pays », a rapporté le site TSA.
Il ajoute qu’ « en quelques jours, nous nous sommes retrouvés dans un monde transformé, aux horizons redéfinis, aux perspectives nouvelles et l’Algérie d’aujourd’hui n’est pas celle que j’ai connue durant mes années passées ici. »
Pour le diplomate français l’Algérie est « revenue, en peu de temps, à sa vieille tradition de pays révolutionnaire ».
S’adressant au peuple algérien, M. Driencourt a tenu à rappeler que « quel que soit l’avenir que vous écrirez, une chose restera, c’est la relation entre la France et l’Algérie. Nous sommes unis dans nos différences. (…) Par les Instituts Français, les échanges entre universités, l’enseignement du français, nous œuvrons tous ici à développer cet héritage qui nous a été légué », selon le même média.
Pour M. Driencourt, « c’est une opportunité pour l’Algérie, c’est une chance pour la France, qui a aussi tant à apprendre de l’Algérie ; c’est aussi une chance pour les Français qui, surpris comme ils l’ont été depuis ce mois de février, souhaitent mieux vous connaître. »
Photo d’illustration : Xavier Driencourt, ambassadeur de France en Algérie
15 juillet 2019