Voici encore une fois la preuve que la caste artistique parisienne n’a pas la même morale que le peuple et qu’elle piétine allègrement de nombreux articles du code pénal. Nous faire croire qu’une femme qui n’a pas déposé plainte pendant 44 ans ne peut que mentir alors que nous avons vu ce qu’il en coûtait de s’attaquer à Roman Polanski relève de la mauvaise foi la plus crasse. Il n’y a qu’en France et à Paris où de tels débats peuvent être diffusés à la télévision au mépris total de toutes les convenances. Ces gens vivent sur une autre planète et il serait temps de leur rappeler qu’ils sont soumis aux mêmes lois appliquées à tous.
L’écrivaine française pense que les charges retenues contre le réalisateur sont infondées.
Les nouvelles accusations de viol contre Roman Polanski continuent de faire réagir.
Alors que l’une des avant-premières parisiennes de son dernier film « J’accuse » a été annulée ce mardi 12 novembre, Nadine Trintignant a, elle, tenu à apporter son soutien au réalisateur franco-polonais.
Invitée sur le plateau de BFMTV ce mercredi 13 novembre, jour de sortie du film « J’accuse », la scénariste et écrivaine française a qualifié l’accusé de « victime ».
« On est sans arrêt contre lui. Ce ne serait pas Roman Polanski, on lui ficherait la paix. […] En ce moment en Europe, il y a un antisémitisme sournois qui se réveille. C’est pas le moment d’accabler Roman Polanski », a-t-elle précisé.
Comme Saint Thomas, Nadine Trintignant n’a l’air de croire que ce qu’elle voit. « Quand je ne vois pas quelque chose… J’ai vu tellement d’accusations à tort contre d’autres. Quand on ne voit pas les choses, j’aurais plutôt tendance à le croire lui qu’une femme qui a mis 44 ans à réfléchir pour le dénoncer […]. On devrait lui fiche la paix depuis le temps », propose l’octogénaire.
13 novembre 2019