Comme toujours, les États-Unis démontrent encore une fois qu’ils n’ont aucune dignité et aucun honneur puisque leur président piétine un accord international signé par le précédent gouvernement, c’est un parjure.
Encore une fois, Donald Trump prouve qu’il est à la solde des juifs sionistes, leur petit toutou obéissant qui va, pour leur plaire, jusqu’à déstabiliser toute la zone et se mettre à dos les autres pays occidentaux qui ont signé le même accord .
Il faut dire que Donald Trump patauge dans de nombreux scandales assez lamentables comme l’affaire de cette actrice porno qui a été menacée et grassement rémunérée pour ne rien raconter… bref, rien de tel que de se mettre le lobby sioniste dans la poche pour essayer de survivre à la Maison-Blanche.
Sauf qu’il est question ici de mettre en péril la sécurité mondiale en déclenchant une guerre régionale qui pourra très vite devenir mondiale ; tout ça pour faire plaisir à des juifs intégristes millénaristes qui veulent hâter l’arrivée de leur messie !
Il est d’ailleurs cocasse d’observer des pays occidentaux quasiment athées s’engager dans une guerre totale purement religieuse ! N’est-ce pas comique !
« J’annonce aujourd’hui que les États-Unis vont se retirer de l’accord nucléaire iranien », a-t-il déclaré dans une allocution télévisée.
Donald Trump a tranché. Sans surprise, le président américain a annoncé mardi 8 mai depuis la Maison-Blanche qu’il quittait l’accord sur le nucléaire iranien et rétablissait des sanctions contre Téhéran qui avaient été levées en contrepartie de l’engagement pris par l’Iran de ne pas se doter de l’arme nucléaire. « J’annonce aujourd’hui que les États-Unis vont se retirer de l’accord nucléaire iranien », a-t-il déclaré dans une allocution télévisée. Il a par ailleurs promis à l’Iran de « graves » conséquences s’il se dota de la bombe nucléaire. Une annonce qui risque d’ouvrir une période de vives tensions avec ses alliés européens et d’incertitudes quant aux ambitions atomiques de Téhéran. Quinze mois après son arrivée au pouvoir, le président américain est prêt à se mettre à dos une grande partie de la communauté internationale en remettant en cause ce texte conclu en 2015 après 21 mois de négociations acharnées.
Le locataire de la Maison-Blanche n’a donné aucune précision sur la nature des sanctions qui seraient rétablies et à quelle échéance mais il a mis en garde : « Tout pays qui aidera l’Iran dans sa quête d’armes nucléaires pourrait aussi être fortement sanctionné par les États-Unis ». Dénonçant avec force cet accord « désastreux », il a assuré avoir la « preuve » que le régime iranien avait menti sur ses activités nucléaires. Son allocution était très attendue au Moyen-Orient où beaucoup redoutent une escalade avec la République islamique mais aussi de l’autre côté de planète, à Pyongyang, à l’approche du sommet entre Donald Trump et Kim Jong-un sur la dénucléarisation de la péninsule. Donald Trump a d’ailleurs annoncé mardi soir que le secrétaire d’État américain Mike Pompeo arrivera en Corée du Nord d’ici « une heure » pour préparer le sommet entre Donald Trump et le leader nord-coréen.
Le rétablissement des sanctions américaines est effectif immédiatement pour les nouveaux contrats, a affirmé mardi le conseiller à la sécurité nationale John Bolton, précisant que les entreprises étrangères auront quelques mois pour « sortir » d’Iran. Et le Trésor américain a fait savoir que les sanctions concernant les anciens contrats conclus en Iran entreraient en vigueur après une période de transition de 90 à 180 jours, quelques minutes après l’annonce par le président Donald Trump du retrait des États-Unis de l’accord sur le nucléaire signé entre Téhéran et les grandes puissances en 2015. M. Bolton a aussi indiqué que Washington était prêt à discuter d’une solution « beaucoup plus large ». Washington a d’ailleurs appelé les entreprises allemandes à immédiatement cesser leurs activités en Iran, a indiqué sur twitter le nouvel ambassadeur américain en Allemagne.
Cuisant revers pour les Européens
Cette décision de Donald Trump marque un cuisant revers pour les Européens, qui ont déployé d’intenses efforts diplomatiques pour convaincre le président américain de ne pas jeter ce texte aux orties. « La France, l’Allemagne et le Royaume-Uni regrettent la décision américaine », et vont « travailler collectivement » à un accord « plus large, couvrant l’activité nucléaire, la période après 2025, les missiles balistiques et la stabilité au Moyen-Orient, en particulier en Syrie, au Yémen et en Irak », a réagi mardi sur Twitter le président français Emmanuel Macron, après l’allocution du locataire de la Maison-Blanche. « Le régime international de lutte contre la prolifération nucléaire est en jeu », ajoute-t-il.
Emmanuel Macron, qui s’est employé depuis son élection à cultiver de bonnes relations avec son homologue américain, a échoué à infléchir la position de Donald Trump lors de sa récente sa visite à Washington. Même déconvenue pour Berlin et Londres, les deux autres signataires européens de l’accord conclu en 2015 avec Téhéran, les États-Unis, la Chine et la Russie au terme d’un éprouvant marathon diplomatique. Quelques jours après Emmanuel Macron, Angela Merkel avait tenu le même plaidoyer à la Maison-Blanche, suivie lundi par le ministre britannique des Affaires étrangères Boris Johnson. Pour sauver le texte, les Européens sont allés dans le sens du président Trump en proposant de négocier avec l’Iran un « nouvel accord » qui prenne en compte les inquiétudes américaines sur le développement de missiles balistiques par Téhéran.
Avec ou sans les États-Unis, Paris et Berlin comptent désormais bien maintenir le cadre existant négocié avec Téhéran, censé garantir le caractère non militaire de son programme nucléaire, pour éviter une escalade dans la région. De son côté, l’ONU a appelé les six autres signataires de l’accord sur le nucléaire iranien de 2015 « à respecter pleinement leurs engagements ». « Je suis profondément préoccupé par l’annonce du retrait des États-Unis de l’accord JCPOA (en référence à l’acronyme en anglais, NDLR) et de la reprise de sanctions américaines », souligne aussi le patron des Nations unies dans un communiqué.
« Guerre psychologique »
Accusant le président américain Donald Trump de pratiquer « une guerre psychologique », le président iranien Hassan Rohani a déclaré dans une allocution à la télévision d’État iranienne : « Les États-Unis ont toujours montré qu’ils ne respectaient jamais leurs engagements ». Et Téhéran de prévenir qu’il pourrait recommencer à enrichir davantage l’uranium. Hassan Rohani a déclaré dans la soirée vouloir discuter rapidement avec les Européens, les Chinois et les Russes pour voir si ces derniers peuvent garantir les intérêts de l’Iran après le retrait des États-Unis de l’accord.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a dit mardi « soutenir totalement » la décision « courageuse » du président américain Donald Trump. « Israël soutient totalement la décision courageuse prise aujourd’hui par le président Trump de rejeter le désastreux accord nucléaire » avec la République islamique, a dit M. Netanyahu en direct sur la télévision publique dans la foulée immédiate de la déclaration de M. Trump. Le Premier ministre, dont le pays se voit comme la cible désignée d’un Iran doté de l’arme nucléaire, est l’un des plus ardents détracteurs de l’accord de 2015. M. Netanyahu a rappelé s’être opposé à l’accord « depuis le début » parce que « non seulement cet accord ne bloque pas la voie de l’Iran vers la bombe, mais il lui ouvre la voie vers un arsenal complet de bombes nucléaires, et ceci en l’espace de quelques années ». Il a affirmé que la levée des sanctions accompagnant la mise en oeuvre de l’accord avait produit des « résultats désastreux ». « L’accord n’a pas fait reculer le risque de la guerre, il l’a rapproché, l’accord n’a pas limité les agissements agressifs de l’Iran, il les a formidablement augmentés » dans toute la région, a-t-il déclaré.
Peu de temps avant l’annonce de Trump, l’armée israélienne a indiqué avoir demandé aux autorités locales du plateau du Golan occupé d’ouvrir et de préparer les abris antimissiles en raison « d’activités inhabituelles des forces iraniennes en Syrie », de l’autre côté de la ligne de démarcation. « Par ailleurs, des systèmes de défense ont été déployés et les forces israéliennes sont en état d’alerte élevé face au risque d’une attaque », a dit l’armée israélienne dans un […]
Le Point / AFP