Nous allons vous relater aujourd’hui comment la plus ancienne mosquée de Marseille, un édifice attachant et chargé d’histoire, dont la mémoire féconde est restituée par chaque pan de mur et chaque détail de son architecture et de son environnement, s’est retrouvée au centre d’un véritable hold-up. Il s’agit d’une histoire extraordinaire, abracadabrantesque, à peine croyable, dans laquelle on assistera à la commission d’un faux et usage de faux, suivi d’un faux en écriture publique réalisé par des politiciens éminents de la cité phocéenne qui ont cautionné cet acte répréhensible digne du Chicago des années 30, ce qui aura permis de faire main basse sur le compte bancaire de l’association alors que l’un des membres historiques, le fils du fondateur, a fait l’objet d’un braquage. On peut compter également plusieurs agressions et menaces de mort…
Ce hold-up avec braquage à main armée ne donnera lieu à aucune suite judiciaire – classement sans suite – et sera ignoré par une caste journalistique totalement absente. Vous ne trouverez nulle part ailleurs un traitement journalistique sérieux et complet de ces faits, une enquête journalistique digne de ce nom. Vous pourrez à la rigueur glaner quelque information anodine et superficielle sur le site de la Provence dont les animateurs vont parfois jusqu’à soutenir l’équipe organisatrice du hold-up, comme cet article récent de la Provence du 13 novembre 2016 dans lequel la journaliste Carine Palmi ne parle pas du tout des procès en cours, ni de l’illégitimité totale des personnes qu’elle a pourtant interviewées, comme MM. Amar Tazir, vice-président de la fausse association et Omar Djellil, ex secrétaire général de cette même association et l’un des responsables historiques du putsch.
Le présent article se situe dans la droite ligne des deux précédents, publiés sur notre site (à lire ici 1 & 2), concernant la politique anti-musulmane de la municipalité marseillaise impliquant Jean-Claude Gaudin, son chargé de mission Salah Bariki, son factotum Omar Djellil… Ce papier vise essentiellement à démontrer comment cette même équipe a réalisé ce coup d’état au sein de la mosquée de l’avenue Camille Pelletan en utilisant les techniques les plus crapuleuses, à peine croyables.
Rappel historique
Avant de commencer, il est important de revenir sur l’historique de cette mosquée située au centre-ville de Marseille, à quelques mètres seulement de la porte d’Aix, au 9 avenue Camille Pelletan. C’est un immeuble entier constitué de cinq étages de 500 m² chacun. Il a été acheté en 1975 par le père Mohand Alili, restaurateur, d’origine algérienne, arrivé en France en 1950. Cet immeuble qui lui a coûté quelque 650.000 FF, a été acquis pour le compte de l’association Errahmaniya de l’époque. À sa mort, en 1984, son fils El Hadj Mohand Alili a repris la direction de l’association de la mosquée jusqu’à son décès en 2013. La mosquée porte aujourd’hui le nom de mosquée ETTAKWA (en arabe, piété). Sa gestion est assurée par l’ACIM ou association cultuelle islamique de Marseille.
Il faut bien savoir également que le fils du fondateur de la mosquée, El Hadj Mohand Alili, était dans les années 90, un des interlocuteurs les plus importants de l’islam de France. Le ministre de l’intérieur de l’époque, Pierre Joxe, l’appelait régulièrement pour le consulter. Cette mosquée n’a jamais été affiliée à un quelconque pays et n’a jamais voulu s’immiscer dans les querelles politiciennes intestines et stériles. Lorsque le roi du Maroc Hassan II voulut financer la totalité des travaux à la fin des années 80, El Hadj Mohand Alili déclina poliment son offre afin de garder une liberté totale, à même de lui permettre de se tenir à l’écart des jeux malsains des pays d’origine. Il fera également partie de la délégation qui ira voir Saddam Hussein en Irak afin de le dissuader d’attaquer le Koweït. Il était membre du CORIF, l’ancêtre du CFCM, créé par Pierre Joxe en 1990. Depuis toujours défenseur fervent du peuple palestinien (cf. image ci-dessous), El Hadj Mohand Alili tranchait par son attitude constante et réfléchie avec les marionnettes utilisées de nos jours et manipulées par le Crif aux positions ultra sionistes assumées et sans équivoque. On voit très mal aujourd’hui une mosquée ou association musulmane responsable d’un lieu de culte assumer une telle posture et un tel affichage !
Hold-Up : administratif et à main armée !
En 2009, lorsque Monsieur Salah Bariki décida de se débarrasser du président en exercice de l’association, il mit en avant d’autres personnes appelées à prendre en charge la mosquée. Parmi elles, Monsieur Moussa Bouzenzen, vendeur de chaussures dans le quartier, fut propulsé à sa tête pour en assurer la présidence. La trésorerie échoira à Monsieur Ghalamallah. Enfin, au secrétariat, on retrouve le factotum ubiquitaire de Monsieur Salah Bariki, Omar Djellil !
Évidemment, pour réaliser ce coup d’état il a fallu tenir une assemblée générale comme l’exigent la loi et les statuts des associations, le but étant de changer de président et d’éjecter Monsieur Alili, président légitime. Sauf que cette assemblée générale extraordinaire (AG) a été convoquée par Monsieur Moussa Bouzenzen qui n’en est ni le président ni même membre et encore moins membre actif ! Il suffit d’aller au bureau des associations de la préfecture à Marseille pour récupérer ce PV illégitime et constater les 3 signatures des personnes citées ci-dessus dont aucune n’était membre de l’association selon le président légitime actuel de l’ACIM, M. Salim Lakhzoum. L’ordre du jour sera de faire le bilan de l’association, élire le CA et le président et enfin modifier les statuts. Vaste programme ! Le PV de l’assemblée générale extraordinaire sera malgré tout validé sans la signature du précédent président, ce qui est totalement illégal, car sans cette disposition n’importe qui peut récupérer une association. Il a suffi de quelques personnes mal intentionnées appartenant à l’association pour réaliser ce coup d’état. Ce rôle sera dévolu à l’ex-épouse de M. El Hadj Mohand Alili, Mme ATTAF Rabha qui était la secrétaire de l’association, en cours de séparation difficile avec son ex-époux (en procès…). Ce conflit conjugal dont fait d’ailleurs état le PV ne peut être négligé. Il suffira à M. Moussa Bouzenzen – en réalité Salah Bariki car comme on le constatera plus loin, la langue de Molière n’est pas familière à M. Bouzenzen – de publier le 23 février 2009 sur la Provence l’avis d’une convocation d’assemblée générale extraordinaire pour le 9 mars 2009 à 10h30 et le tour est joué.
Mais là où la situation prend une tournure grave et dangereuse c’est lorsque la préfecture validera le document malgré ces manquements. Un faux en écriture publique est un crime passible des Assises selon l’article 441-4 du Code pénal ; il se définit comme « toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accomplie par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d’expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d’établir la preuve d’un droit ou d’un fait ayant des conséquences juridiques ».
Pour corser le tout, on peut lire à la fin de la 3e page de ce PV, qu’il a été réalisé sous le contrôle de deux experts en droit : M. Roll, huissier de justice et Me Christian Méjean, avocat au barreau de Marseille ! Ce qui servira à donner un semblant de légitimité et un poids juridique au document. Mais, cela n’empêchera pas la cour d’appel d’Aix-en-Provence d’annuler plus tard ce faux document ; on y reviendra.
Première étape, ce faux en écriture publique permettra à la nouvelle association de récupérer le compte bancaire crédité à l’époque d’un solde actif de 24.000 €.
Puis, cette association pirate, sentant le vent en poupe, déposera à l’aide de ces faux documents un dossier de permis de construire auprès du service de l’urbanisme marseillais qui le lui accordera !
C’est ainsi qu’elle a pu, par la suite, récupérer les locaux de la mosquée en s’appuyant sur le soutien inconditionnel des politiques locaux comme M. Jean-Claude Gaudin et Lisette Narducci, un soutien qui s’exprimera en novembre 2014 dans un artifice de cérémonie officielle. Pourtant ces marionnettes venaient de perdre des procès qui redonnaient la légitimité à l’ancienne équipe et notamment à Monsieur Salim Lakhzoum, président légitime de l’association. On ne peut imaginer qu’une personnalité comme Monsieur Jean-Claude Gaudin ne soit pas au courant de ce putsch et de ces magouilles gravissimes qui ont fait que MM. Bouzenzen, Ghalamallah, Tazir et Djellil occupent les lieux sans droit ni titre – comme cela a été souligné par les décisions de justice – surtout lorsque l’on sait qu’un des membres de son cabinet, Salah Bariki était à la manœuvre depuis le début. Pour prouver que ces gens-là méprisent le droit et encore plus la justice, lorsqu’un huissier de justice se présentera face à M. Bouzenzen pour lui signifier la décision judiciaire et lui demander de restituer les clés et les documents administratifs, ce dernier refusera de s’exécuter !
Braquage par 3 hommes armés et cagoulés !
Pendant ce temps, le frère de El Hadj Mohand Alili, M. Alili Abdelmalek, se fera braquer fin novembre 2014, à la sortie de son magasin alors qu’il était en compagnie de deux amis, au moment précis où il fermait son rideau, par trois hommes cagoulés et armés qui lui ont conseillé de ne plus se mêler de l’affaire de la mosquée de l’avenue Camille Pelletan ! Une plainte a été déposée, classée sans suite malgré la gravité des faits ! Hasard de la vie, pendant le braquage, un policier qui passait par là, voyant ce qu’il s’y déroulait a immédiatement appelé du renfort. Malgré une course poursuite avec le concours d’une quinzaine de policiers et les nombreuses caméras de surveillance, la police n’a pas réussi à mettre la main sur ce groupe de trois personnes armées et cagoulées ! Elles sont toujours en liberté et… armées.
Chalghoumisation des imams de France
Nous en avons déjà parlé dans les précédents articles portant sur l’islamophobie de la mairie de Marseille, notamment à propos de l’association municipale fictive Marseille Espérance, gérée par Monsieur Salah Bariki. Cette coquille vide n’a pour objet que de réaliser un gala annuel ainsi qu’un calendrier, dont on se demande quel est l’intérêt réel ! L’argent de nos impôts est assurément parfaitement géré et dépensé.
Comme par enchantement, nous retrouvons M. Moussa Bouzenzen en qualité de membre de Marseille Espérance ! Nous constatons également l’appartenance de Monsieur Salah Bariki à cette structure associative en tant que musulman alors qu’il est de notoriété publique qu’il est athée, ne croyant pas en Dieu et de ce fait, étranger à l’islam ! On se demande dès lors pourquoi son nom a été ajouté ! Que vient-il faire ici ?
Un article intéressant de Marsactu, signé par Benoît Gilles, explique parfaitement comment fonctionne cette coquille vide. Suite aux attentats de novembre 2015, Jean-Claude Gaudin réunira en catastrophe, le 19 novembre pour être précis, les membres de ce comité. L’article nous apprend que le communiqué lu à l’occasion de cette rencontre médiatisée, a été rédigé par le cabinet du maire !!! L’archevêque Pontier n’avait plus qu’à lire le texte, telle une marionnette et les autres à acquiescer en opinant du chef. On apprend que l’imam Bachir Dahmani, responsable de la mosquée de la Capelette était fatigué et malade et avait du mal à s’exprimer. On apprend également que Monsieur Moussa Bouzenzen était présent sans trop savoir ce qu’il faisait là : « Il élude toute autre question sur son adhésion à Marseille Espérance dont il semble peu au fait du fonctionnement. » ! Une attitude qui rappelle le « Je ne peux pas dire plus » d’un certain Chalghoumi.
Dans une vidéo tournée et diffusée par LCM, on peut voir et écouter M. Bouzenzen s’exprimer dans un français très approximatif : « Y a trois tages, y a un biblothèque… » ! Il est incapable d’aligner une phrase correctement structurée, avec sujet, verbe et complément ! Du coup, on en déduit qu’il est illettré en français et dès lors, on est en droit de se demander comment fait-il pour lire, comprendre et signer les PV rédigés à l’issue des réunions et autres assemblées de son association ?! Comment a-t-il fait pour rédiger et publier la convocation de 2009 dans la Provence ? Les faits sont têtus et aveuglants !
Alors que l’association originelle et légitime gagne ses procès, l’équipe municipale actuelle constituée de Monsieur Moussa Bouzenzen et Amar Tazir ira jusqu’à expulser manu militari et avec une grande violence Monsieur Salim Lakhzoum et le gardien de la mosquée. Ce dernier se fera insulter de tous les noms d’oiseaux par Monsieur Moussa Bouzenzen dans l’enceinte même, censée être sacrée, de la mosquée ! Il se fera agresser physiquement et menacer de mort (des plaintes ont été déposées).
Pour avoir rencontré à plusieurs reprises Monsieur Salim Lakhzoum, il est important de préciser qu’il s’agit d’un homme marié, âgé de 49 ans et père de cinq enfants, dont une fille en fin de cursus pharmaceutique et un cadet en formation d’ingénieur. C’est un universitaire d’une grande érudition, ayant reçu une formation d’ingénieur en sécurité industrielle ; il est l’un des fondateurs de l’IMEM ou Institut méditerranéen d’études musulmanes. Maîtrisant le texte coranique qu’il a appris par cœur, il s’exprime parfaitement en français… Ainsi, pour résumer une situation ubuesque, la municipalité, mue par une volonté à peine dissimulée de ridiculiser les musulmans et leur culte, a délibérément choisi d’installer à la tête de la mosquée de l’avenue Camille Pelletan un vendeur de chaussures, illettré en langue française, profane en islam et illégitime de surcroît, à la place d’un savant musulman de haut niveau, expulsé en violation des statuts et des décisions de justice, lui préférant ouvertement un énième Chalghoumi aisément manipulable et très loin d’être un parangon de vertu ! Un modèle qui a malheureusement la fâcheuse tendance de se répéter au niveau national, et Monsieur Hassen Chalghoumi en est l’archétype.
Lorsqu’en 2015 Monsieur Salim Lakhzoum gagne son procès en appel, il entame la procédure d’exécution du jugement et fait appel à la police pour que cela se fasse dans le calme et pour faire régner la loi. C’est alors que les policiers réagiront d’une manière étrange et tout à fait inattendue en fermant et en cadenassant la porte dont les clés seront remises à l’équipe adverse illégitime Bouzenzen/Tazir/Djellil ! Il faut également savoir que depuis que Omar Djellil a fait entrer l’élu FN Stéphane Durbec dans les locaux de la mosquée, il a été exclu pour la forme de son poste de secrétaire. Il est néanmoins toujours à la manœuvre comme le prouve cette photo prise en janvier 2017 et dans laquelle on le voit guider des visites lors des journées portes ouvertes accueillant les riverains et autres Marseillais. Ou bien cette autre photo pendant que des ouvriers muraient l’entrée de la mosquée, on le voit de dos avec M. Moussa Bouzenzen !
Monsieur Salim Lakhzoum rendra visite à l’architecte, en charge des travaux pour l’informer qu’il avait gagné son procès. À cette occasion, il l’invita, s’il le souhaitait, à poursuivre son travail au sein de l’association. L’architecte, Monsieur Maxime Repaux, refusera la proposition de Monsieur Lakhzoum lui rétorquant qu’il n’était pas légitime !!! Ce faisant, cet architecte, avait-il conscience qu’il s’opposait et faisait obstacle à une décision de justice souveraine, faisant loi, car ayant acquis l’autorité de la chose jugée. Peut-on considérer une telle attitude comme étant acceptable d’un point de vue professionnel et déontologique et même d’un point de vue citoyen ?
Il est utile de rappeler ici que les projets de construction de la Grande Mosquée de Marseille et celui d’Auphan de la communauté comorienne ont été confiés à ce même cabinet d’architecture qui a également bénéficié d’autres marchés, notamment ceux de la construction du consulat algérien flambant neuf, du ministère des affaires étrangères à Alger ainsi que de l’Assemblée populaire et du bâtiment du Congrès comme on peut le constater sur le site Internet bamarchi.com !
Depuis, les imposteurs faussaires squattent les lieux et ont même entamé des travaux de rénovation à hauteur de 2.135.000 € – somme astronomique pour une si modeste bâtisse – alors qu’ils n’ont même pas le droit de s’y trouver en tant que gestionnaires ! Tout ceci avec la bénédiction de la municipalité, de Salah Bariki et des polices nationale et municipale !
Conclusions
La situation présente telle que vécue par la communauté musulmane à Marseille est très préoccupante, tant les faits dénoncés sont d’une extrême gravité. Les faits sont têtus et d’une clarté aveuglante : l’ingérence dans les affaires cultuelles de la communauté musulmane marseillaise par la municipalité est actée. Aucune autre religion ne peut se prévaloir de faire l’objet d’une telle agression, au quotidien, dans l’intimité de son culte ! Les preuves sont très nombreuses, des livres ont été écrits sur la question, un mémoire de Master 1 de l’université Paris 8 publiquement présenté et soutenu, les témoignages très nombreux exprimés. Cette situation est spécifiquement vécue à Marseille et elle est en partie due à la mainmise des anciennes générations dans les affaires liées au culte alors que dans d’autres villes de France, ces questions ne se posent guère, comme le souligne Monsieur Vincent Geisser dans un de ses articles. Les rapports des anciens et des jeunes face à l’autorité politique ne sont clairement pas les mêmes. Nous assistons à Marseille à une gestion colonialiste pure du culte islamique en totale violation de la loi sur la laïcité, en raison de la survivance de réflexes anachroniques dominateurs, sous des accents paternalistes insupportables ! Si on y ajoute le clientélisme électoral et la fraude, le désordre ne peut que grandir encore et encore.
Nul n’ignore – quoiqu’il soit essentiel de le rappeler aux fidèles – que la prière faite dans des lieux de culte litigieux comme celui de l’avenue Camille Pelletan et bien d’autres, n’est pas valide. Les versets coraniques 108-109 de la sourate 9 du Repentir l’expriment clairement : “Ne te tiens jamais dans (cette mosquée). Car une Mosquée fondée dès le premier jour, sur la piété, est plus digne que tu t’y tiennes debout [pour y prier]. On y trouve des gens qui aiment bien se purifier, et Allah aime ceux qui se purifient. Lequel est plus méritant ? Est-ce celui qui a fondé son édifice sur la piété et l’agrément d’Allah, ou bien celui qui a placé les assises de sa construction sur le bord d’une falaise croulante et qui croula avec lui dans le feu de l’Enfer ? Et Allah ne guide pas les gens injustes.“
Cessez également de faire des dons ou de remettre vos offrandes entre les mains de gens qui ne respectent ni la loi, ni la religion, ni leurs coreligionnaires. Renseignez-vous avant d’agir, de soutenir ou d’aider quelqu’un. Vous serez étonnés du nombre de scandales à découvrir. Prenez vos responsabilités car ces gens n’ont que le pouvoir que l’on veut bien leur donner !
Enfin, si à Dieu ne Plaise, il nous arrivait quoi que ce soit dans les semaines ou mois à venir, eu égard aux faits graves relatés ci-dessus et aux mœurs de leurs auteurs, vous avez dès maintenant une idée des possibles commanditaires…
Enfin, nous allons clore cet article avec une pointe d’humour. Comment ne pas relever, en effet, ce lapsus révélateur, ayant échappé à M. Amar Tazir, trésorier de l’association, au moment où il présentait dans la vidéo ci-dessous, l’état d’avancement des travaux lors d’une journée portes ouvertes : (à partir de la minute 13:50)
La suite…