En prévision de la conférence annoncée en septembre sur la nécessité de l’enracinement, avec Alain Escada, catholique, et le chef de la dissidanse-autour-du-pouvoir, j’aimerais donner quelques conseils au catholique. D’abord le placement. À la droite du chef dissidansant-autour-du-pouvoir, il y a Jésus-Christ, placé par le chef lui-même. Escada-le-catholique devra donc se placer à gauche du chef, à moins qu’il veuille s’asseoir sur les genoux du Christ, mais je le lui déconseille. Ensuite, les idées. Si le catholique fervent veut proclamer au cours de cette conférence une sainte croisade contre la franc-maçonnerie qui détruit les racines, pour la bouter hors de France, à la Jeanne d’Arc, il devra alors faire attention à ne pas égratigner le chef, qui a posé sa candidature en 2006 pour entrer en franc-maçonnerie. De même, si le catholique obstiné veut dénoncer l’internationalisme et le sans-frontierisme marxistes, causes du déracinement, il devra prendre garde à ne pas froisser le chef qui fut un militant marxiste communiste.
Maintenant, la nudité. Si le militant catholique veut pourfendre la nudité qui envahit tout l’espace public, il devra le faire avec parcimonie, car le chef est adepte de la nudité décomplexée.
Enfin, les alliances. Si le catholique politique repousse une alliance avec le Front national, il devra le faire avec délicatesse, le chef ayant fait un passage dans ce parti, en haut lieu, et ayant reçu du flouze de proches de ce parti.
Je terminerais en n’omettant pas de conseiller à Escada d’y aller mollo avec Israël et les sionistes, Gilles-William Goldnadel, le très influent avocat franco-israélien ultra-sioniste est pote avec le chef.
J’oubliais la zoophilie. À éviter absolument, voir pages 45, 46 et 47 d’un livre du chef : Misère du désir.