Cela fait bientôt deux années qu’Alain Soral crie, sur tous les toits, être en possession des preuves matérielles sur les pressions prétendument exercées sur Salim LAÏBI par le lobby sioniste. Près de deux ans qu’il ne cesse de le diffamer dès qu’il en a la possibilité, soit à travers ses vidéos, soit lors de ses conférences. Et pourtant, rien, absolument rien n’a été produit, pas le moindre commencement de preuve n’a été présenté, pas même le moindre epsilon.
La seule défense qu’il adoptera à coup sûr et qu’il met en avant depuis toujours — car il est connu de tous que le gourou ne répond jamais sur le fond des choses et déteste les questions qui fâchent — c’est celle qui consiste à dire que l’on est sous l’emprise des juifs et que l’on travaille pour eux, une accusation stupide qui vient au secours de sa stratégie de victimisation et de pleurniche destinée à susciter la générosité de donateurs naïfs, sauf que cette technique ne fonctionne plus comme avant et pour cause ! Souvenons-nous qu’il a utilisé cette même stratégie contre Ahmed Moualek, contre Mathias Cardet, contre Farida Belghoul, contre Marc Georges… tous ont été taxés d’indics travaillant pour la police ou pour le lobby de Tel-Aviv, sans apporter aucun élément tangible censé appuyer ces accusations mensongères, juste des mots creux qui n’engagent que cet être vil et pervers.
C’est d’autant plus ridicule et cocasse que c’est Soral, dont le patron, Philippe Péninque, ami intime du frère la truelle Jérôme Cahuzac (ministre du gouvernement socialiste) et du patron de la LDJ, Jean-Claude Nataf, qui porte cette accusation totalement fantaisiste et risible. Oui vous avez bien lu, ami du patron de la LDJ. Soral l’ami de Gilles-William Goldnadel, agent sioniste notoire, qui ose toujours aller plus loin dans l’immonde. Ce même Soral qui se liquéfia littéralement lors du procès de Complément d’enquête en 2007, affirmant être un philosémite, ami des juifs et dont les maîtres à penser étaient tous juifs… Vous pouvez lire ci-dessous le compte-rendu du procès, réalisé par Hervé Ryssen, dans son texte Alain Soral. Pensées profondes, mars 2011. On apprend également qu’il est allé au rassemblement du FN en 2006 pour quémander protection auprès de Marine Le Pen étant donné ses relations de proximité avec la LDJ et le Bétar ! La lecture de ce papier démontre combien est pleutre le gourou subutexoïde et combien l’image qu’il s’est créée pour le public virtuel du web est éloignée de la réalité, une réalité sombre et triste à la fois !!!
Autant que l’on sache, ce ne sont pas les juifs qui ont poussé Romain au suicide ! Ce ne sont pas les juifs qui ont volé Stiopa et qui font travailler les autres pour des miettes. Ce ne sont pas les juifs qui sont derrière le site pornographique de Stéphane Rovidati le webmatser de ER, ce ne sont pas les juifs qui ont publié un faux communiqué en usurpant l’identité de plusieurs personnes, ce ne sont pas les juifs qui poussent Soral à mentir sur ses faux diplômes ou à acheter une moto à 70.000 € sur le dos de ses adhérents et clients dissidents (sic)… ! Bref, cet énoncé pourrait s’éterniser, mais à quoi bon, il y a assez de lumière pour ceux qui veulent voir.
Bref, encore et toujours cette technique de l’inversion accusatoire qui ne trompe plus personne depuis que Soral a été démasqué et que son vrai visage répugnant est apparu au grand jour. .
Hervé RYSSEN
Alain Soral
Pensées profondes
Mars 2011
Comment Soral s’est prosterné devant ses juges
Lors de la campagne électorale interne au Front national pour la succession à la présidence du parti, Alain Soral a attaqué Bruno Gollnisch à différentes reprises. Dans son Bloc-notes du 10 février 2011, il accusait Gollnisch d’avoir manqué de courage au cours d’un procès :
« Quant à son courage sur un certain sujet que Marine préfère stratégiquement éviter, rappelons qu’il s’est couché à son procès devant Maître Jacubovitz pour ne pas avoir à débourser trop d’argent. »
Mais au cours de son procès de mars 2007, auquel nous avons assisté, Alain Soral avait lui-même rampé devant ses juges comme une horrible limace. Voici ce que nous avions écrit à l’époque dans un témoignage intitulé “Soral ou Faurisson” :
« Alain Soral avait adopté une stratégie “défensive”, pour ne pas dire autre chose. Il se présenta donc comme un homme de gauche, muni de solides garanties républicaines, reconnaissant pour maîtres-à-penser des philosophes juifs tels que “Karl Marx, Goldman, ou Politzer”. Soral a aussi rappelé qu’il avait longtemps travaillé au parti communiste sous la direction de Pierre Zarka, en collaboration avec d’autres juifs tout aussi sympathiques. Il a même dédié l’un de ses livres au penseur marxiste Lucien Goldman, et fait “l’éloge du génie juif” dans le chapitre d’un autre de ses ouvrages. Mieux encore ─ et c’est une suprême bénédiction ─, il possède aussi un “livre dédicacé de William Goldnadel, qui est un ami”, assure-t-il. Par conséquent, Alain Soral déclare être un “philosémite malgré lui” : “On a fait de moi un antisémite, et je trouve que c’est dégueulasse”. Il en rajoute alors une louche en vitupérant contre le “fascisme”, au moins dans sa version sioniste, en la personne de Jabotinski, qui était, dit-il, un “fasciste revendiqué”, un “fasciste notoire”. Ayant exprimé à diverses reprises son engagement “de gauche”, on aurait finalement pu oublier qu’Alain Soral était un proche de Marine Le Pen, et Richard Abitbol s’est fait ici un plaisir de le lui rappeler. »
Ses relations avec des sionistes comme Gilles-William Goldnadel sont confirmées par son ancien bras droit à “Égalité et réconciliation”, Marc Georges. En mai 2010, celui-ci réglait ses comptes avec le “virtuose du logos” dans l’hebdomadaire Rivarol :
« Pour conclure je vais vous raconter une anecdote qui va peut-être vous faire sourire : en 2006 Alain Soral, inquiet pour sa sécurité, avait sollicité Marine Le Pen dont il connaissait les accointances judéomanes pour qu’elle intervînt en sa faveur car, il craignait d’être menacé par des bandes sionistes du type du Bétar ou de la LDJ. Et Marine Le Pen a appelé devant lui dans son bureau Michaël Carlisle, le chef de la Ligue de défense juive, pour lui demander si Soral était effectivement menacé. Ce à quoi Carlisle a répondu que non. Et pour cause, quand on sait qu’en contrepartie de ce service, Alain Soral, ce qui en étonnera plus d’un – c’est lui qui me l’a raconté – qui avait sympathisé avec Gilles-William Goldnadel, agent israélien notoire, ultrasioniste, a présenté ce dernier à Marine Le Pen dans le cadre d’une rencontre tripartite. Édifiant ! »
Hervé Ryssen